Alois ne savait pas comment l'approcher depuis un moment, "hey, oh bah quel heureux hasard de se retrouver ici en plein milieu de L'Italie, ce n'est absolument pas car je t'ai surveillé" , il hésitait, quelle approche prendre, en même temps il était ici pour son deuxième travail avec la mafia, mais il pouvait certainement pas lui dévoilé ce "petit" détail. Il flânait pendant quelques temps le long des fleuves, entre les chants typiques et romantiques, et une mélancolie lancinante. Tout lui rappelait France, les couple attablé aux restaurants, ceux qui se tiennent la main le long des ponts, les lampadaires aussi, leur lumière lui rappelait celle qui éblouissait ses jours. Il se rappelait les lettres reçus, ils se remémorait leur odeur, c'était si touchant, quelqu'un pensait à lui, ses parents aussi lui en envoyé mais c'était différent, France lui donnait un but dans la vie, la sensation que sans lui il n'était rien. C'est alors qu'il se décida et alla à la rencontre de l'élu de son cœur, "Excusez moi mais attendiez vous quelqu'un", tout sourire.

"..." , France attendait quelqu'un, il devint plus blanc que blanc, il était quand même venu exprès pour le voir dans son pays et c'est comme ça qu'il fut reçut et bah, il perdait pas le nord le jeune homme. "J'ai un deuxième travail ici", aussi sec comme pas permit, au fond il bouillait, il se mordit la joue à s'en faire saigner. "Et non je n'ai pas vu TON grand brun à la peau matte", ils étaient même pas en couple mais Alois brûlait de jalousie. Il regrettait déjà d'être venue, il préférait vivre dans le mensonge, plutôt que de souffrir de la vérité, c'est vrai France avait besoin d'attention et de se sentir désiré, qui va à la chasse perd sa place comme on dit. "Et bien je ne vais pas vous déranger alors". Une voix lui criait de rester mais son cœur se sentait trop meurtri pour cela, il tourna le dos à France et commença à partir.

Peu être avait-il jugeait trop vite la situation, et fait sa drama queen, mais il n'y pouvait rien , il avait tout les défaut de la Terre pour ce qui était de la jalousie. "J'avais juste peur que tu m'eu déjà remplacé", il frôla la joue de Frannie de ses doigts, lui relevant quelques mèches de cheveux derrière l'oreille. "J'aurais voulu voir ta ville à tes côtés", Alois était très sincère pouvoir remplacer les images de couples dans sa tête par eux deux serrait juste magique pour lui, et puis ils pourraient apprendre à mieux se connaître. Il l'attira vers lui, pour pouvoir l'entourer de ses bras, ses lèvres à quelques centimètres de celles de France il lui murmura, "Je suis désolé" , et bien il faudrait des miracles comme celui-ci plus souvent, vive France.

"Tu sais, c'est le principe d'une surprise", tout sourire, normalement ce genre de chose se prévoyait certes mais bon, le destin avait bien fait mumuse avec eux, pour pas suivre son exemple, de tout façon le vampire ne pouvait pas pour le moment passer autant de temps loin de sa princesse Frannie. "Oh et bien se serrait avec plaisir, j'ai pas vraiment chercher c'est vrai, je m'étais plus triturer l'esprit à savoir t'aborder" , et bah tiens pour au final déboulé comme une renaissance du Christ et lui faire un drama alors qu'ils ne sont même pas ensemble, du jolie! Mais c'est vrai pour le coup le logement était passé en second plan, et il aurait eu bien mauvaise d'en chercher un pendant la nuit, France son sauver. Il se demandait bien comment était l'ami du jeune blondinet pour lui susciter de l'intérêt, mais il se rappela que souvent l'amitié était assez facile à trouver et forger, il avait même oublié ce concept, en avait il eu seulement un durant sa vie? "Fais attention, et si je venais à avoir une préférence pour Giani?", lui dit-il en lui tirant la langue d'un air joueur, il était déjà assez enquiquineur comme ça et Frannie le rebel ne faisait que l'inspirait

Il ria à son tour, avec une pointe de "N'essaie même pas" , Frannie, chaud comme la braise, le vampire se demandait quand même qui était le vrai prédateur des deux. Quel salop sensuel, se dit-il "Il aime bien jouer avec moi" , le jeune savait pertinemment sa faiblesse maintenant vu la résistance d'Alois, c'est à dire quasi nul à cette zone érogène. "C'est un plan que j'approuve et j'espère bien que ma surprise ta plu" , sur ces mots il lui fit un baise main, après tout ils étaient dans la ville du romantisme, quoi de mieux rêver pour ces amants de mieux se découvrir? "Tu me manque chaque secondes où tu es loin de moi", il lui fit un baiser esquimau pour venir l'embrasser.

Alois eu l'impression d'avoir une nouvelle vie aux côtés de France, tout avait changé, il voyait la vie en couleur désormais, se tenir la main comme un petit couple le rendu si heureux, il n'était plus seul. A ses côtés il n'eu plus peur d'affronter le monde...Excepter la belle famille, avait-il parlé de lui? Même si la dernière phrase de Frannie avait pour but de rassurer, Alois se crispa encore plus, un avec un sourire sur le visage un peu con, il serra légèrement un peu plus la main de France. Il n'était vraiment pas serein, et puis ils n'étaient pas un couple, unE relation assez ambiguë, comment expliquer que le vampire avait qu'une envie, celle de sauté sur leur fils mais d'un autre côté avec une peur bleue à s'engager? C'est ainsi qu'il se redit tel un piquer en entendant les bruits de pas s'approcher et à chaque clap, une nouvel goutte de sueur froide dans le dos apparaissait.

Alois fut emporter par la langue de France, il avait un si belle acens, comme si n'importe quel mot pouvait ce transformé en chant. Le vampire comprenait un bon nombre de langues, tel que celle-ci mais il ne pourrait la parler, c'est comme cela avec plusieurs autres langues qu'il avait étudié dans sa jeunesse à la place d'aller à l'école. Il fut attendrit par la proximité de France avec sa mère, ça lui rappela sa famille qu'il n'avait pas vu depuis 5ans, les lettres ne pouvaient les remplacer, mais plus il attendait et plus il avait peur de rentrer au bercail. Mais aujourd'hui était l'heure, l'ultime épreuve, la mama de France, d'un beauté éblouissante pour son âge, le rapprochement était flagrant avec le fils. "Bonsoir, ravi de faire votre connaissance madame", avec un sourire qui essayait d'être chaleureux, pour cacher l'amas de stress, cependant il devait bien avouer que la femme lui inspirait la confiance et il se sentit un peu plus à l'aise.

Finalement ce n'était pas si horrible que ça se dit-il, la mère de France fut très gentille à son égard, un peu trop d'ailleurs, ce qui le fit un peu rougir, il n'était pas tellement habituer à un si chaleureux accueil, en même tant la vie de connard de service ne lui permet pas vraiment. La main de France le fit rougir encore plus, c'est pas évidant d'être un vampire ce genre de sentiment était rapidement lu sur son visage. Il regarda tendrement France, s'introduire carrément dans sa sphère privée le rendait heureux, ils s'intéressaient l'un à l'autre, la famille était un point primordial pour Alois, il pensa de même pour le jeune blondinet, ils étaient tout deux proches de leur famille. Cependant il espérait que France n'avait pas trop parlé de lui, il se sentirait gênée, de plus il n'était pas vraiment fier de leur toute première rencontre, même si avec un peu de recul cela le rendait nostalgique.

"C'est tout toi Frannie", en constatation de la chambre qui inspirait la fraicheur et la vie, il se sentait bien ici, avec France, il opta pour plus de surprises à l'avenir. Il fit basculer le jeune homme en dessous de lui et le couvrit de baiser avant de l'embrasser tel un fou, "Tu m'a manqué" , les pupilles d'Alois pouvaient presque former des cœur, tellement il était en mode bisounours. Il se poussa sur le côté pour laissé sa petite princesse reprendre son souffle, la tête affalé sur son coude le vampire entortillait les cheveux blonds sensuellement, avec un regard tendre et amoureux. Plus il en avait plus il en voulait, Alois souhaitait tout possédé de France, son corps, son cœur, savoir ses pensées, tout. Avait il trouvé son âme sœur? il vivait son conte de fée avec sa princesse, et il botterait bien le cul de tout les méchants qui essaieraient de la lui enlever. "Je t'...Je t'adore France", avait il vraiment voulut dire la première version? Même lui ne le savait pas, sa seule certitude était, qu'avec France la vie était plus belle, et qu'il était heureux.

Plus il se rapprochait de France et plus il avait peur d'aimer à nouveau, d'être à nouveau anéantit, cependant c'était un fait il ne pouvait plus vivre sa vie sans Frannie, il lui était vital. Il lui caressa sa chevelure étendu sur son torse, il s'attarda sur les croquis étalés au sol, c'est vrai que France était à l'académie des beaux arts, il était plutôt intrigué par son potentiel, mais il ne voulut briser leur position, et il attendra patiemment que France le les lui montre de son pleins grès, Alois n'était pas vraiment fouineur juste intéressé, il n'est pas un forceur pour ce genre de choses. Il hésitait presque à se laisser bercer par Morphée tellement la sensation de bien être était présente, il aimerait tenir France dans ses bras pour l'éternité, sur un lit de fleurs se serrait encore mieux pensa t-il, et c'est reparti pour les fantasmes à l'Alois.

"Ahhh, Frannie je t'avais dit pas là", murmura t-il en gémissant, ses poils faisaient comme les chats, ils s'iriseraient, "Je suis content que ça te fasse plaisir, et puis de toute manière je ne pouvais juste pas être éloigné si longtemps de toi" susurra le vampire, il mentirait si il disait qu'il n'avait aucune envie de prendre le jeune blondinet sauvagement sur le lit, mais il s'abstenu par crainte de devoir s'excuser face au regard médusé de la belle maman, qui avait l'air d'une mère poule par excellence. "Au moins j'ai pu connaître la belle maman" , dit il avec nonchalance, cette phrase à double sens en regardant l'expression de Frannie.

Alois caressa chaleureusement la chevelure du blond riant à ne plus pouvoir, "J'adore ta famille" s'exclama t'il, voyant Frannie en pls il ne pouvait se retenir de rire, alors qu'il le torturer plus tôt maintenant il était gênée comme pas permis, ça lui apprendra tiens. Cela faisait bien un moment qu'il n'avait pas ri ainsi, il ne se passait rien qui sorte de l'ordinaire dans son quotidien, alors c'est sure qu'aux côtés de France ce serra plus mouvementé, il aimé bien cette idée la, il avait oublier la sensation de croquer la vie à pleine dents, la gêne et le rire. "On devrait y aller, à moins que tu veuilles les faire attendre, le message serra bien reçu", il mordilla l'oreille du jeune homme en signe de représailles, mais il ne s'arrêta pas la, il descendit dans le cou et lui fit des suçons, "La tu es parfait, je dirais bellissimo" son humour n'était pas très au point, mais il avait le mérite d'essayer.