L'histoire raconte que ce professeur était en réalité, un prince charmant. Blond, grand, beau, musclé... Un prince ayant grandit dans la richesse, dans la force. Ses parents étaient gentils, bienveillants, si bien qu'ils élevèrent leur fils avec autant d'amour que possible. C'est de là que sa confiance hors norme en ses capacité est venue.
On dit aussi que c'est à force de croire en lui qu'il a réussit tout ce qu'il avait alors décidé d'entreprendre.
La seule chose que l'histoire ne raconte pas, c'est qu'il allait succomber au charme discret d'un de ses élèves...

D'ailleurs... Quand je dis "blond"... C'est à définir. Parce que ce sorcier est un métamorphomage. Et sa lubie préférée : changer de couleur de cheveux. Selon l'humeur, selon l'envie,  selon l'occasion, hop, changement de couleur de cheveux et de coiffure. Il aime cultiver le mythe, qu'on ne sache finalement pas de quelle couleur sont ses cheveux.  

C'est un type qui, dans son attitude, reste discret, qui aime observer avant de parler. En fait, on pourrait croire qu'il s'y croit beaucoup trop, et qu'il se donne des airs de défenseur de la bienséance. Pourtant, c'est totalement innocent. Ayant été élevé dans la bienveillance, c'est le genre de type qui va détester se battre, ou entrer en conflit. Paradoxal pour un professeur de sortilège, n'est-ce pas ? Mais là est sont vrai premier combat ! Lancer des sortilège, c'est un art ! C'est savoir manier la baguette, c'est savoir dire ou penser les formules, c'est trouver le bon tempo pour lancer son sort. C'est un passionné, un virtuose de la danse de baguette, et on aime ça !

Un peu bohème, insouciant, rêveur, ce pacifiste pourra cependant se mettre en colère. Et là, l'art de bouger son corps au rythme des sorts se transforme en l'art de la torture. Double personnalité pour un prince à deux facettes. Au moment où il franchit la ligne rouge de sécurité, vaut mieux se mettre aux abris. C'est le genre de prof qui n'hésiterait pas à lancer un difindo sur le bureau vide du fond de la classe pour faire taire ses élèves à coups d'explosions du mobilier. Mobilier qu'il s'empressera dans tous les cas de réparer d'un coup de baguette dès les gamins sortis. Pas borderline, ou bipolaire, ni même schizophrène, il n'a juste jamais su gérer la frustration, malgré tous les efforts et la bonne volonté de ses parents.