Quand je sentis mes sens me revenir, la première image que me fis parvenir mes yeux était celle de ma sœur agonisant au sol, avec mes membres encore engourdis je ne pu m'empêcher de me précipiter sur elle. Lorsque je commença à réfléchir à cette situation, je vis une horde d'ennemis nous repérer, sans hésitation j'attrapa ma sœur et je m'enfonça alors dans ce qu'il semblait être ma seule solution de fuite, le labyrinthe de Beauxbatons. Courant à pleine haleine étant cependant ralentit par le poids de la blessée sur mon dos, j'empruntais les différents chemins sans m'arrêter de peur d'être rattrapé, jusqu'à que je puisse au moins trouver un espoir de sortie de ce cauchemar...Lorsque j'entendis les bêtes trop proche de nous je retirais une des chaussures à ma sœur et la lança dans une autre direction pour les éloignés, de toute façon dans son état actuelle elle ne pouvait pas vraiment m'en vouloir. C'est ainsi après mainte et mainte reprises où je du nous désaper pour ruser, et plusieurs moments où je faillit embrasser le sol dû à la fatigue et l'adrenaline. C'est à ce moment, après toutes ces épreuves qui furent sentis comme interminables, que je ressentis mon esprit s'enveloppé dans une lumière. Pour la seconde fois où j'atterris le contraste fut flagrant, une étendu de blanc, juste ma sœur et moi... Cependant quand je posa celle-ci au sol je pu voir les quelques dernières étincelles de vie s'évaporées de ses yeux. Je ne comprit pas au début, je m'installa à ses côtés lui racontant que cette expérience me remémorait celle où je du traverser la forêt proche de la maison pour la ramenait car elle s'était foulé la cheville en trébuchant sur une racine de saule, mais cette fois je ne pu la ramener à la maison, elle était morte. Commençant à frôler la folie tantôt pleurant tantôt rigolant gaiement, c'est à ce moment que je commençais à suffoquer, les murs se brisés pour laisser place à l'étendu des ténèbres, ainsi je vis défilé ma vie devant mes yeux, où devrais-je dire mes souvenirs les plus douloureux, quand ma mère du feindre la mort auprès des moldus car elle était considéré comme une ''sorcière'', une hérétique, où je vis sa pseudo mort, brûler vive, quand j'ai tué un animal pour la première fois, pour voir qu'elle était la sensation d'ôté la vie à autrui... J'étais face à ces moments, faisant partis du passé, ils étaient souffrances, mais cependant à cet instant précis je n'y associé aucune émotion. Je succombe alors à l'atmosphère pesante, sans air, où mon hallucination me montrait la mort rire de moi, je rirais avec elle quand je serais à ses côtés décidais-je dans ma dernière lueur de lucidité. C'est ainsi que je me réveilla dans le hall de l'école où je me rappelais enfin devoir passer le test, ainsi devant les fondateurs je ne pu me retenir: ''Vous êtes vraiment des ******"
  

   
La fin de l'épreuve venait de sonner. La grande salle était plongée dans le silence. Tous attendaient le verdict des quatre fondateurs. En parlant d'eux, ils étaient réuni en cercle. Chacun avait un commentaire à dire sur ce qui venait de se dérouler. Obéron et Morgane préféraient rester en retrait et laissa l'affaire aux deux autres. Le jeune élève avait les capacités pour intégrer les deux familles. D'un seul regard, Titania se recula pour prendre la place auprès de son époux. L'enfant encore allongé sur le sol en marbre, déboussolé par cette longue épreuve fit fasse à la main ridée du fondateur.




Le jugement était rendu. Merlin l'aida à se relever pour mieux le guider vers sa table. Le visage illuminé par un doux sourire, il posa délicatement sa main sur l'épaule de l'enfant.  « Bienvenue jeune homme. » Il le guida à travers les rangés. «  Ton intelligence t'auras permis de prendre la décision. Parfois nos choix peuvent se montrer difficiles et injustes. Mais, l'avenir te montreras que tu auras fait le bon. Car, tu ne dois jamais douter de ton cœur et celui de tes proches. La passion n'est pas l'amour. Choisi toujours celui qui te conviens, et l'amour se montrera à toi. Bienvenue parmi les Merlinois, jeune Alois. »