Au moins ils ont en point commun d'être manique, Alois aussi aimait avoir sa zone de confort être propre et bien rangée. La fougue de France le surprit à nouveau il ne s'attendait surtout pas à un semi-viol, ce qui eu pour effet de réveiller les pulsations du vampire tout en faisant grimper la chaleur, il retira alors sa chemise et fit basculer France pour se retrouver au dessus de lui, le dominant ainsi, il y déposa ses lèvres sur son torse jusqu'à remonter à ses lèvres, l'embrassant avec toute la passion dont il put être doté, lui caressant les cheveux affectueusement. Cependant son envie la plus destructrice était de mordre le petit Frannie, et de boire ce qui était pour lui son absinthe, il ne pouvait pas se débarrasser de cette pensée aussi facilement, et ne pouvait donc cesser de reluquer ce cou qui semblait si fragile du petit être en dessous de lui. "Je n'aurais pas rater une chance telle que elle-ci".

Devant le dévergondement du jeune homme, Alois ne pu se sentir autre qu'un corrupteur d'innocence, ce qui ne lui déplaisait en aucun cas au contraire, ils avaient franchis un cap de non retour, les gémissement de son compagnon le poussa encore plus dans sa folie passionnel,sentant le cœur de France battre juste en dessous de son corps rendait cette réalité encore plus douce et charnel. Le baiser passionné du blondinet le poussa encre plus dans ses états, son envie de mordre lui fit perdre toute raison et dans un élan de désir il il se jeta au cou de Frannie et d'une semi-douceur semi-bestialité planta ses crocs dans sa jugulaire, par peur qu'il ne se débatte il plaqua sa main contre les délicates lèvres de son compagnon. Sentant le flux de sang lui parvenir, Alois fut transporté dans une sorte de transe, son péché qui le conduit à l'extase, il resta ainsi un moment, desserrant son emprise, et caressant de son pouce les lèvres de son cher partenaire. Il se sentait en vie, une vie où la routine volait en éclat, où seule Alois et France existaient. Mais lorsque le vampire se retira du cracmol, il fut reprit d'un énorme regret, il l'avait mordu, il l'avait blessé, il se sentait honteux d'avoir ainsi écouté ses pulsions. S'allongeant sur le côté contre Frannie il lui chuchota à oreille "Excuse moi..." Une voix emplie de craint et de tristesse.

Quand il sentit le souffle régulier de France contre son torse il comprit que celui-ci s'était endormie, cependant la culpabilité ne s'en allait pas, il se demanda si il ne valait mieux pas partir et ne plus jamais laisser France l'approcher pour ne point le blesser, cependant il entoura de ses bras le jeune cracmol, pour s'être donné à lui, il n'allait pas le laisser de si tôt, et puis il avait peur de briser son cœur. Le vampire n'arrivait point à trouver le sommeil, trop préoccuper par ses actions, d'ailleurs pourquoi se torturait-il l'esprit ainsi? Tout était si simple d'habitudes, des filles de joies, des personnes en manque d'affections, que des coups d'un soir, jamais aucun regret, pour a première fois Alois avait peur de blesser, lui que l'on qualifier d'agir sans état d'âme, il ne pu faire étouffer la petite voix qui lui disait que tout était de sa faute. Durant cette torture mentale, il contempla le jeune blondinet, calme et paisible, il était attendrissant dans cette position contre lui, sans aucune peur, la règne la sérénité, il resta ainsi à graver chaque parcelle de son corps dans sa mémoire, en particulier cette expression d'apaisement qui permit enfin la paix à l'âme d'Alois, il finit par se faire prendre par Morphée.