Alois retrouvait bien là l'énergie qui animait le jeune blondinet, il vit son entrain et fut ravi. France ramenait un brin de vit au vampire, et il souhaitait y goûter le plus longtemps possible, avant d'aller s'assoir à ses côté Alois entreprit de se prendre une bière skoll et prit une grenadine au crocmol, se souvenant qu'il avait l'alcohol triste. Assis aux côté de sa muse, il décapsula sa bouteille avec ses crocs, il adorait faire ça, 3 ans d'entrainement quand même. En regardant le panel de chansons il reconnut des titres comme "Bamboleo" , "Vous les femmes" , "Fruit de la passion" , et surtout "Un tour sur l'autoroute", il choisit cette dernière. "Oh j'espère que cela te convient Frannie" , il entrelaça ses doigts avec ceux de France, c'est vrai qu'ils étaient que tout les deux dans une pièce maintenant, même l'ange sur son épaule lui chuchota des propos pegi18, il sentit une petite chaleur l'envahir peu à peu, il s'imagina déjà l'objet de ses fantasme chanter, remuant les lèvres et le vampire souhaitant y déposé un baiser passionnel.

Ce fut une sensation étrange, un sentiment oublié, la joie de rendre quelqu’un heureux, Alois était entrainé dans une ribambelle d'émotions durant la musique, il avait une voix aui portait plutôt sur un grave mais assez légère. Son attention était toute reportée sur Frannie qui semblait si joyeux, sa bonne humeur etait communicatif, ça y est, il se sentait vivant. A la fin de la chanson il lui adressa un sourire charmeur « A toi maintenant de choisir » , il était assez curieux de qu’elle allait être son choix, de touta facon le choix importait peu pour Alois, seul la présence de son bien aimé compte. Dans cette salle il avait l’impression d’être dans une autre dimension, où tout était beau, où les couleurs sont eclatantes, à l’image du coeur d’Alois durant ces instants, il voulait prolonger cette sensation pour l’eternité

Que venait il de se passer au juste, il ne pu à peine chanter lorsque Frannie fut prit d’une furie passionnelle, Alois fut tellement surprit qu’il préféra s’extasier devant le charme qu’il dégageait, le bisous lui fit comme comme un petit électrochoc, le traversant, il sentait le cracmol, vraiment...intense ce qui ne lui déplaisait absolument pas, cependant cela aider à faire grimper la chaleur de son corps, voyant Frannie se désaper il eu le regret encore en voyant la marque, il espérait qu’il ne souffrait pas. Alois ouvrit quelques bouton de sa chemise, il parcourut donc les musiques pour en choisir une, celle ci représentait vraiment les sentiments qu’il éprouvait sur le moment, il mit « En apesanteur » , il s’elanca, mais durant la chanson, il se détourna des lyrics et regarda droit dans les yeux France avec une expression qui montrait tout ces nobles sentiments, après la phrase « Pourvu que les secondes soient des heures » il ne put se retenir, il s’avança vers France, il lui souleva la tête de l’index et déposa un baiser sur ses lèvres , mais il ne pouvait plus s’arreter, il le fit basculer sur la banquette pour l’enmbrasser fougueusement, la passion le consumait, France lui faisait tourner la tête autant qu’il faisait battre son cœur.

La réalité c’etait fissurait le temps de ce baiser charnel, il perdit les pédales et vit son monde changer, « France » il n’avait que ce mot dans ses pensées, qui se répercuté sur toutes les paroies de son être en formant des échos. Il s’etait gravé le goût exquis de ses lèvres dans la mémoire, mais comme chaque début était suivit d’une fin, il ne pu former une phrase « Je, Frannie je...Je t’apprecies Bien... » Alois, fut un effort monstre pour pouvoir sortir ces quelques mots, la musique et l’acte sont plus facile pour le vampire à excercer mais exposer ses sentiments et le fond de sa pensée était l’une de plus dure épreuve pour le vampire. Ses lèvres brûlèrent encore de désir, elles n’etaient pas rassasiées, elles réclamèrent le corps de France. Il caressa du dos de sa main la joue tendue, remarquant le cou en position de faiblesse, mais non cette fois il allait résistait jusqu’a l’epuisement de son âme, il ne referait pas l’erreur une nouvel fois. Il glissa alors son pouce sur les lèvres de son âme sœur comme pour demander une permission, les yeux cherchant la lumière qui habitait France, il en fut éblouit tant qu’elle était si belle a ses yeux, était-ce le coup de foudre?

France était à sa merci, il pouvait lui faire tout ce qu'il voulait, mais cette fois-ci il lui portait du respect, il ressentit la peur de blesser un être qu'il apprécie, mais cette peur il en était terrifié, il s'était promit plus jamais, mais France avait bouleversé ses certitudes, avait-il encore le droit de s'accrocher à ce qui semble être l'amour? Il balaya ses pensées et préféra se focaliser sur le présent, où France et Alois étaient seuls dans cette pièce. Alois poussa un petit gémissement face au chuchotement du plus jeune, son point faible, il se sentit rougir, il entendait se compliment assez rarement, cela le rassurait que France le trouvait à son goût. Souhaitant passer au cran supérieur il retira d'un geste assez sauvage le débardeur de France, embrassant chaque parcelle de son corps, remontant jusqu'à ses lèvres, caressant la chevelure blonde de son amant, l'embrassant langoureusement en oubliant tout le reste.

La surprise prit possession de lui, il avait l'habitude de dominer, mais il se laissa faire, de toute façon toutes ses habitudes furent déjà bouleversées dès que France fut rentrer dans sa vie. La position qu'avait prit le jeune cracmol lui fit parcourir des picotements tout le long du corps, il avait envie de lui, il le désirait, il l'aurait, le vampire menait toujours à bien ses caprices, pas d'exception pour France. Il se prit à lui griffonner le dos tout doucement lui montrant ses envies, et la soif de son corps qui lui était devenu vital, il vint lui mordiller l'oreille tout en lui susurrant "Je te veux Frannie, ton corps, de tout ton être, sois mien", Alois n'en revenait pas lui même, mais lors de ces émotions il avait une plus grande facilité à s'exprimer. Ce désir de possession était assez maladif chez le vampire, dès qu'il tenait à quelque chose ou quelqu'un il exigeait absolu une loyauté sans faille, il était une jalousie possessif sans pareil, si le sort te désignait comme étant sa propriété, la meilleure solution était la fuite, avant que ses crocs ne se referment sur sa proie, mais dans le cas de France il était surement trop tard.

Ses lèvres tremblèrent en même temps que les mouvements de bassin assainit par le jeune homme, la respiration du vampire s'accéléra tandis que son désir grandissait "France si seulement tu pouvais entendre tout ce que mon cœur te dis", pensa Alois, il n'était plus sur Terre depuis un moment, rien au monde pouvait le ramener, plus haut que le 7e ciel, dans un autre univers, comme si il avait une omniprésence, il savait tout, la certitude que France lui plaisait et qu'il plaisait à France, une certitude où il savait qu'à ce moment précis ils étaient heureux ensemble, pour rien sur Terre il abandonnerait ces moments. Il refit basculé France, reprend son rôle de male dominant, il descendit jusqu'à atteindre son pantalon et déboutonna avec ses crocs de la même dextérité que la bouteille de tout à l'heure, revenant pour l'embrasser il glissa la même et caressa la nouvelle zone dévoilée, France était désormais piégé dans la toile de son prédateur.

Lorsque le jeune homme le releva c'est à ce moment qu'il reprit pieds sur Terre, cependant il restait entre la passion flottante encore et les mots de France, cependant ils s'appliquaient plus pour le cracmol, Alois ne voyait pas les choses de la même manière pour lui il n'avait pas besoin d'avoir des sentiments amoureux pour passer à l'acte, il pouvait comprendre que France lui, mais il avait peur qu'il s'attache trop à lui. C'est vrai Alois ne savait pas si il devait encore aimer à nouveau, le voulait-il, il fut paralyser par la peur en l'espace de quelques secondes, en une phrase. Pour une raison qu'il ignorait il ressentit une vague d'émotion négatif le submerger, et il savait qu'il risquait de faire ressortir des larmes si il restait dans cette état là. Il prit alors l'autre voie, celle du désir, il prit alors les poignets de Frannie pour les hisser au dessus de sa tête, et il le plaqua au mur, et d'un dernier élan il déposa ses lèvres sur celles rougeâtres de sa princesse, lorsqu'il se reprit il lança dans un murmure "Regarde qui je suis vraiment...Tu ne devrais pas t'attacher à moi" , il ne pouvait parler à voix normale sous peine de briser son esprit, il ne pourrait le supporter que France voit ainsi sa détresse "Tu as raison peu être devrions nous metre une distance..." Alois ne mesurait plus ses mots, la peur au creux de son âme de tout fouttre en l'air, lui comme France. Il déposa sa tête sur l'épaule de Frannie laissant rouler une larme le long de sa joue, il avait une attitude dominatrice et autoritaire mais au fond il était un petit animal apeuré, abandonné dans ce vaste monde.

Habitué à se ressaisir il ne fallut pas longtemps à Alois pour supprimer toutes ses émotions, il avait reprit le contrôle de lui même et ne risquait plus de lui sauter dessus à tout bout de chant. Il se décolla donc de France et d'un geste qui ce voulait doux effleura la joue du jeune homme, "Je respecte ton choix", il fut plutôt mal à l'aise pour les compliments mais aussi le fait qu'il l'"apprécie beaucoup" , voulait il vraiment une relation comme cela avec France, pouvait il vraiment envisager un futur avec le cracmol? Il n'en savait rien, au final c'était plutôt une bonne idée de stopper le jeux et d'y réfléchir, plus France occupait ses pensée, plus son esprit rationnel prenait la fuite, il n'était pas comme cela, pas une bête sous ses pulsions, il ne se reconnaissait plus, lui qui être maître de soi, avait laissé ses instincts primitif l'obnubilé, il se sentit un peu honteux et en colère envers lui même. Où alors était-ce France le problème? A trop se triturer l'esprit il ne faisait même plus attention au principal intéressé. Finalement il alla chercher le pull et le haut de Frannie et les lui tendu, "C'est vrai, on devrait laissé le temps au lieu de se dévergonder de la sorte, mais tu me rends la tâche vraiment très difficile", un sourire diabolique sur ses lèvres.