Assis sur l'un des cartons, le vampire repensa à sa décision, c'était peu être impulsif mais il n'y pouvait rien face à la force qui pesait sur son cœur il ne pouvait se tenir si loin de France. Il eu prit alors d'emménager plus proche de celui-ci, et bingo l'appartement pile en face de son amoureux était à louer, Alois songea à se reconvertir, rependant le la sainte parole du destin, il le remerciait chaque jour. Non il ne regrettait rien, cela ne pouvait être que bénéfique pour eux, mais une pensée lui traversa l'esprit, et si il le prenait pour un stalkeur? Non ils sortent ensemble, ça devrait aller se convint t-il, de toute façon plus de retour en arrière possible. Il n'avait pas beaucoup de carton, il ne tenait pas beaucoup au bien matériel, et juste un lit pouvait très bien lui sufi, mais bon il avait une forme de l'esthétique assez strict, le sens des couleurs et de la symétrie ça le connaissait. Il se leva donc et alla déballer le carton pour remonter son bureau Ikea, mais qu'elle fut sa surprise en tournant la tête quand il s'aperçut que la porte était encore ouverte et qui plus et qu'il vit France juste en face. "Enchanté cher voisin" d'un ton mélodieux il s'avança pour aller serrer la main de France en toute convivialité.

Quelle ne fut pas sa surprise de reconnaître Alois. Les bras chargés de cartons. France ne s'était pas douté que son nouveau voisin serait le vampire. "Alois ? Que fais tu ici ? " Frannie était beaucoup trop hébété pour savoir quoi dire et qupi faire. Il savait que l homme voulait habituer avec lui, mais arrivait à cette extrémisme. Et cela inquiétait France que l'autre réagisse comme ça. " Quand tu disais vouloir habiter avec moi, je ne pensais pas à ça " avoua le blond en colère, gêné et surprit. Que devait il penser de ça ? Dans une autre situation il aurait pu penser que c'était de la coïncidence mais à ce niveau ?

"France, j'ai l'impression que tu n'écoutes pas ce que je dis, Je ne peux plus vivre sans toi" , le vampire caressa la joue de son amant, il voyait bien le trouble qui l'habitait, il reconnaissait avoir un peu exagéré mais il n'arrivait plus à se stopper. Il prit la main de France pour la posé contre son torse, pour qu'il entende les battements de son cœur, "Sans toi je suis comme un mort qui déambule, je sais que c'est un peu extrême mais au moins on se verra plus souvent" , il lui arbora un grand sourire, il espérait qu'il soit quand même heureux de cette situation. De toute façon il n'avait que le choix de l'accepter maintenant.

"Certes, mais tu n'avais pas besoin de louer cet appartement. Je t'ai dit que mon appartement te seras toujours ouvert. " souffla doucement France toujours aussi troublé par ce qui venait de se passer. " Ne m'en veux pas que je trouve ça surprenant. " Frannie ne savait toujours quoi en penser. D'un côté il trouvait ça attendrissant mais aussi très flippant. Rt malgré tout la seconde impression lui laissa un goût amer dans la bouche. Il fit un sourire maladroit à l'homme.

Le vampire ressentit la gêne qu'éprouvait France, c'était compréhensible, à quoi s'attendait-il? Qu'il se jette dans ses bras en mode "Oh oui mon choupinet marions-nous" ,ou encore la brouette? Il se traita d'idiot plusieurs fois dans sa tête, il était tout simplement maladroit en ce qui concernait l'amour. "Excuse moi d'avoir agit ainsi, mais je préférais être plus proche de toi, et puis si tu as besoin de quoi que se soi je suis juste à coté" , il lui fit un petit clin d'œil, "Ah d'ailleurs tu allais où aujourd'hui?" , il se rendit compte que si France était sortie de son appartement c'était surement pour se rendre quelque part, et si il allait voir un amant? Et si il le tromper? Les pensés paranoïaque affluèrent dans sa tête, c'était aussi une des raisons pour laquelle Alois avait emménager près de son amoureux, il voulait être au courant de toutes ses sorties.

Il comprenait le résonnement de l'homme, mais tout le cela sonner bizarre aux oreilles de France qui fixait étrangement le vampire. "C'est gentil, je n’oublierai pas de frapper à ta porte à l'avenir si il me manque un peu de beurre" blagua gentiment pour essayer de détendre l'atmosphère et la conversation. "Je dois aller à un rendez-vous'' répondit simplement le cracmol en jetant un coup d'oeil à sa montre. Bon, il était en retard de cinq minutes mais connaissant son frère il ne sera pas là avant une vingtaine de minutes. Pour le cadeau de mariage, il allait lui offrir une montre. Plus de retard, et d'excuse à deux balles. Comme '' Mais c'est pas ma faute ! Des canards traversaient le passage piéton, je pouvais pas les écraser !" Et lui c'était une mandragore ?! Il fit un petit sourire à Alois, moins mal à l'aise.

Alois ne pu s'empêcher de laisser échapper un petit rire face à la remarque de Frannie, mais il changea d'expression radicalement lors de sa réponse, "Qui?". D'un réflexe il serra son emprise sur la main de France qui était rester contre son cœur. "Un rendez-vous? avec qui?" , en vérité il voulait poser bien plus de questions, mais il ne voulait pas faire fuir en courant la queue entre les jambes son amant. Il avait l'avait déjà assez perturbé avec le déménager, il n'aller quand même pas rajouter une pincée de sel avec sa jalousie. Mais c'était trop tard, le vampire se faisait déjà des films.

France fut surprit par la phrase de Alois. Il leva un sourcil et jeta un regard indigné à l'homme déjà que France n'avait pas digérer l'aménagement surprise. Maintenant il voulait qu'il lui rende des comptes ?! 《Oui, un rendez vous. Avec quelqu'un que j'aime énormément》. Il allait pas se mettre à penser qui le tromper avec son frère ? Mais merde c'est son frère. Il eut une vision de dégoût. 《 Et si je te disque c'est Frank?》 Frannie aimait le danger, et embêter son amoureux.

Cela en était trop pour lui, son sang ne fit qu'un tour, ses gestes se fit mécaniquement avec aucun control dessus, il attrapa France par le col et l'entraina dans son appartement avant de refermer derrière. Il espérait sincèrement que c'était une blague, ne comprenant guère le second degré il était fort possible que le vampire ai gobé au sens littérale la réponse de son amant. "Pardon, mais peu tu répéter, je n'ai pas vraiment saisi" , il n'avait plus envie de jouer le gentil petit bisounours qui venait habité juste à coté de son namoureux pour qu'ils puissent vivre leur amour pleinement. S'il venait à regretter c'est pour apprendre qu'il se faisait cocu, et les deux risquaient d'avoir des légers soucis.

La blague pas si innocente de France c'était transformé en une dispute. Il n'arrivait pas à comprendre comment son amant n'avait pas comprit le second degré de sa blague. Et aussi ce peu de confiance qui régnait entre eux. Et cela lui faisait mal au coeur. 《Tu es sérieux de réagir comme ça ?!》 S'exclama en colère le blond, les yeux brillants et les joues rouges. Déjà qu'il n'avait pas fait un scandale sur le fait que Alois soit son nouveau voisin. 《Je suis pas ton objet et je fais ce que je veux. 》 Il leva les yeux au ciel. 《Je suis déçu que tu ne me fasses pas assez confiance et que tu puisses imaginer que je te trompe ! Et si tu veux toi savoir non je ne vais pas voir Frank mais je ne te dirai pas avec qui j'ai rendez vous ! 》

Il se sentit attristé de voir qu'il s'était trompé, et d'avoir ainsi causé un scandal inutile. Mais il n'y pouvait rien son imagination aimée bien lui faire miroiter ses plus grandes peur devant ses yeux. Et puis c'était comme Voldemort, un nom qui ne devait pas être prononcé "Frank". Il se ressentit tel un idiot face à France qui étais maintenant en colère contre lui, mais il se tromper sur un point. "France je n'ai jamais dis que tu étais un objet, bien sure que tu à le droit d'aller voir qui tu veux, je voulais juste savoir...Ce n'est pas que je n'ai pas confiance en toi, j'ai juste peur qu'un jour tu rencontre quelqu'un de meilleur que moi...Je n'aime pas qu'on me cache les choses..." , il reprit son soule après avoir déballé toutes ses pensées, il est vrai qu'il possède un sens du second degré très bancale, et que cela peux très vite dégénéré comme cette situation. Il regrettat sincèrement d'avoir fait toute cette scène, que pouvait-il dire "Ohh France, je suis un jaloux possessif paranoïaque, aime moi". Il baissa la tête attendant les autres reproches.

France fut rapidement attendri devant de la bouille du chien battue de Alois. Il rapprocha et embrassa les lèvres de son amoureux. 《C'est toi que j'ai choisi pas quelqu'un d'autre. 》 Il embrassa une nouvelle fois son homme. 《Si tu veux vraiment savoir avec qui j'ai rendez vous tu n'as cas m'accompagner. 》 Il fit un clin d'oeil subjectif au bel homme. France se rapprocha pour le prendre dans ses bras et lui montrer son affection par ce geste. 《Puis pourquoi j'irai voir ailleur alors que j'ai le meilleur petit ami au monde》 Et un autre bisou et une nouvelle papouille. 《Il faudra te faire pardonner. 》 Le blond lui fit un clin d'oeil. Pourtant le côté possessif du brun ne lui faisait pas peur. Et cela avait un côté aphrodisiaque pour le cracmol. Qui voulait une brouette parmi les cartons !

"Est-ce une invitation?" , d'un sourire malicieux il le plaqua contre la porte et déposa ses lèvres contre celles de son cher et tendre. C'est vrai qu'il l'avait plutôt séquestré, pourquoi fallait-il que ça soit l'un de ses fantasmes? "Tu ne risques pas d'être en retard?" , il posa la question même si quoi que fusse la réponse de France, il allait quand même profiter de sa présence, et puis il fallait bien innover dans le nouvel appartement. Il fit glisser ses mains sous le haut du cracmol, sentant la chaleur de son corps contre ses mains froides, s'approchant de son oreille pour lui murmurait des mots doux "Je t'aime France, ma petite étoile qui guide mes pas à travers l'obscurité" , à ses mots, il lui mordilla le lobe

Sans que France n'est eut le temps de dire "brouette". Il se retrouva contre la porte et des lèvres contre les siennes. Le blond ne pouvait que soupirer de bonheur. Enfin il regoûtait à ces lèvres qui avaient bercées son voyage. Les mains du vamoire avait passé la barrière du vêtement et jouait avec sa peau.《Je t'aime 》 Simple efficace et sobre, Frannie aimait montre la puissance de ces mots ! Mais la réalité le rattrapa rapidement. La brouette était une idée qui lui plaisait mais il avait toujours son rendez vous. 《J'aurai adorer sucer ton pénis mon amour. Mais nous devons nous préparer notre rendez vous où nous sommes en retard. 》 Le tout avec un magnifique sourire.

Pour qu'elles raisons les propos de Frannie finissait toujours par heurté la sensibilité du vampire, il finit par rougir et se dégager du cracmol. France avait un don pour dire les choses comme elles devaient être sans gêne, ce qui avait pour effet de faire roussir les pommettes d'Alois à chaque fois, une question d'habitude. "Dommage, des pirouettes ne m'auraient pas déplu, bon et bien allons y" , il lui rendit son sourire et ouvra la porte derrière lui. Il se demandait bien qui était l'objet de son rendez-vous, il ne remettait pas en doute sa fidélité, mais les dernières connaissance de Frannie que rencontra le vampire furent composé d'un terrible mama et d'un cousin un peu lourd.