Alois fut touché par les mots de France, que quelqu'un puisse un jour s'intéresser à lui, lui était impensable. Mais le voila ici avec France, prêt à aller prier le dieu du destin pour être à jamais aux côtés de son âme sœur. Il caressa la petite tête qui était posé sur lui, que pouvait il bien faire maintenant sans lui? "Sinon à ce qu'il parait j'ai toujours une promesse en cour" , reprenant son air malicieux, il ne se laissait plus décontenancer par les évènements, seul lui et France comptaient à cet instant, la famille et tous c'est bien beau mais la brouette c'est encore mieux. Il parcouru le dos du blondinet à travers le tissu, le griffonnant, c'était son moyen de faire comprendre le message.

《 Oh... Vraiment ? 》 répondit malicieusement le blond en embrassant les lèvres charnues. Ses doigts jouaient avec le horlet de la chemise de Alois. Frannie avait vite compris ce que voulait Alois et ce n'était pas que jouer au Monopolis ! Le boule de France allait le sentir passer. Frotant son bassin contre celui du vampire. Il lâcha un glissement érotique contre l'oreille du brun dans une invitation silencieuse. 《Je crois que tu vas devoir me rapeller ta fameuse promesse》murmura le cracmol le feu au cul. Il rêvait de cette fameuse nuit en Italie et n'avait qu'une envie ressentir la même chose. 《 Je crois que ma mémoire me joue des tours. Il va falloir que tu me fasses souvenir ta promesse》 Et il posa franchement sa main sur le pénis de son homme.

Il se demandait bien si il y avait un jour où ils ne s'étaient pas sauté dessus, pas pour le déplaire, au contraire, mais il se demandait bien comment France pouvait toujours tenir debout après leurs séances d'amour intense. Il faut dire que le jeune homme ne lui laissait pas vraiment du répit son plus, pas besoin de GPS, il connaît le chemin. Il se laissa faire par les mains expertes, "Mais est-ce que tu le mérite vraiment?" , il jouait avec les mèches blondes tout en descendant sa main le long du corps du plus jeune, lui mordillant l'oreille comme à son habitude, il savait que ça le rendait fou, autant que lui.

"Et toi ? " répondit le plus jeune au tac au tac. Il colla son bassin contre celui de Alois dans un mouvement lent et langoureux. France était joueur et aujourd'hui ne faisait pas exception à la règle. Quelqu'un allait le sentir passer ! Ses doigts venaient de passer sous la chemise de Alois pour finalement enlever le dite vêtement. Tout son corps était partie sur le champ de bataille qui était de gagner le corps du vampire. "Penses-tu mériter l'entrée à mon cul ce soir, mon cœur" déclara paresseusement le plus jeune avec un grand sourire sur les lèvres. Il adorait embêter le vampire et cela se voyait. "C'est dommage, j'avais appris de nouvelles positions surtout qu'avec ma souplesse nous pouvions les tester. Mais finalement, l'odeur du dessert est peut-être plus intéressante que avoir ta bite dans mon cul." Et Frannie ne déconnait pas. Il avait un gros faible pour le chocolat et l'odeur du gâteau au chocolat lui donnait des envies.

Fourrer le gateau ou fourrer France, tel n'était pas la question, il en fut presque vexé du choix du cracmol. Il n'en était pas question, il le retourna sentant les ressorts de son lit, il attrapa les poignets du jeune homme comme pour ne pas qu'il s'échappe de ses griffes, "Oui, j'ai été très sage, cependant j'ai un petit caprice moi aussi, donc je me vois dans l'obligation de te retenir ici un peu plus", il effleura les lèvres du blondinet des siennes, "Tu me suppliera de continuer" , Alois lui fit plusieurs suçons , finissant par le mordre, il se demanda qui pouvait bien avoir le plus envie de l'autre. Il va lui faire passer son envie de dessert, c'était lui la cerise sur le gâteaux, il ne supportait pas de passer au second plan, oui le vampire était jaloux d'un gâteau.

France se retrouva sous le vampire. Pas n'importe quel vampire, un vampire affamé et existé. Il était sûr d'avoir une quinzaine de suçons au niveau du cou et du torse. Demain, il était bon à mettre un col roulé. "Tu sais, j'aurais adoré te sucer ou même de sentir ta bite au fond de mon cul. ¨Mais j'ai une envie terrible d'aller manger le dessert que ta mère a préparé." minauda le plus jeune en papillonnant des yeux. Un jour, il faudra qu'il tartine le corps de Alois de chocolat lors de leur culbutage du soir ! Un grand moment s'annonçait. "Puis, nous pouvons toujours remettre notre partie de jambe en l'air plus tard mon cœur." Frannie avait-il déjà évoquer qu'il aimait titiller le vampire ? " Puis, je suis pas du genre à supplier facilement !" Il embrassa langoureusement le brun avant de faire un mouvement de va et vient avec le plaisir de son amour.

Venait-il vraiment d'avouer sa préférence pour le gâteaux? Il était vexée et amorça une moue boudeuse, de plus il jouait avec son corps, et il ne le supportait pas. Le non consentement existe dans ce bas monde, "Pas de dessert ce soir, je prend sa place!" , il lui retira ses vêtements avec détermination, il allait le retenir contre son grès, il va voir qui dirige ici foi d'Alois Ruthven. D'une attitude sensuelle il dirigea sa tête vers le bas du jeune homme, passant sa langue pour l'exciter encore plus, on verra bien qui entre la pâtisserie et Alois gagnera le cœur de Frannie.

Rejetant la tête en arrière devant ce déferlement de plaisir. Frannie n'oubliait pas son objectif premier, aller bouffer ce gâteau ! Et avoir cet orgasme culinaire qu'il attendait tant. "Je suis sûr que ta bite aurait fait un excellent dessert mais ce gâteau à l'air très gouteux." rétorqua malicieusement le blond. Il s'avait de par expérience que les hommes détestaient comparer leur sexe avec autre chose. France s'en foutait complétement. D'un coup de bassin, il poussa le brun pour se retrouver au dessus de lui. "Alois" murmura France dans un gémissement plaintif. Dégrafant le pantalon, il jeta le vêtement avec la chemise et le caleçon ne fit pas long feu. "J'hésite tellement." avoua innocentement le plus jeune. "Ton sexe ou le chocolat ?"

"Je ne vais pas te faire hésiter trop longtemps", il ne lui laissa aucun choix possible, il allait le prendre comme jamais, il se rassura en ce disant qu'il avait d'une certaine manière son consentement vu la bosse qu'il avait. Il le fit de nouveau basculer avec son poids, ce soir il s'agissait de sa chose à lui, et il comptait bien en faire ce qu'il voulait. Ce fut comme leur première rencontre mais plus en profondeur, il lui rentra dedans, assez sauvagement, resserrant son emprise sur les poignets de France, il était à lui, seul le vampire devait être dans ses pensées. L'embrassant follement il allait ressortir avec des marques sur tout le corps, tel une palette digne des grands peintres, France était sa toile, et il le marqua encore et encore. Alois: 1 , Gâteau: 0

Jamais il n'avait vu le vampire aussi sauvage avec lui. Et nom de Morgane, France allait devenir accro à Alois. La tête en arrière et gémissant son plaisir, il ne pouvait qu'en redemander. Pourtant son estomac n'était pas contre pour ce morceau de gâteau qui le faisait saliver. Pour se venger car le vampire l'éloignait de son objectif, il lui griffa le dos en signe de son plaisir. "C'est trooop bon" gémit bruyamment le plus jeune. Si, le brun continuait sur cette lancée Frannie allait perdre son Eldorado en chocolat. D'un coup de hanche à la Beyoncé, il se positionna au dessus de Alois avec un sourire craquant sur les lèvres. Il se pencha et embrassa rapidement celle de son homme. Retrouvant son sourire machiavélique, il se dégagea de l'emprise du  vampire et commença à se diriger vers la porte en quête de chocolat. Seuls les baisers et l'amour de Alois pourra le faire détourner de son aventure ainsi que la bite de celui-ci !

Ce fut bon d'entraver France le rebelle, une petite satisfaction personnelle pour le vampire. Cependant la proie commençait à s'échappait, il se lança à sa poursuite, lui faisant volte face entre France et la porte, c'était la dernière barrière, tenant son menton de l'index, les lèvres à quelques nanomètres "C'est moi ou le gateau!" , il fit un visage de vampire battu, ce n'était jamais assez pour Alois, et il voulait que le jeune homme se soumette face à sa défaite. "Sinon plus de galipettes pendant 1 mois" , il tenta le tout pour le tout avec un faux ultimatum, il savait très bien que c'était impossible de se retenir de sauter sur le cracmol, aussi à qui la faute de remuer son derche tel une lady devant son amant.

France n'était pas effrayé par l'éventualité de ne plus faire la brouette avec Alois. 《 J'ai mes sex-toys pour me combler au pire》 déclara t-il avec un grand sourire. En vérité, il savait que le vampire avait gagner. La bouffe était sacrée mais pas autant que le brun. Malgré le fait que Frannie donnait l'impression d'être un obsédé sexuel en manque. Sa dernière relation remontait à plus de un an et demie. Mais à chaque fois qu'il était en présence de Alois ses hormones lui jouaient des tours.

Échec et mat, il savait que France avait perdue, ce fut une belle partie pour le vampire, avec un large sourire il lui tint ces propos "Je ne pense pas qu'ils puissent te faire autant jouir que moi", il lui mordit la lèvre inférieur, recherchant le Frannie dévergondé qu'il connaissait bien. Cette nuit était sans rappeler celles d'Italie, brouette, lotus, crabe, tout y était passé, cherchant de nouvelles inspirations dans la souplesse du plus jeune. Alois se réveilla avec pas mal de courbatures, c'est pas qu'il se faisait vieux mais au quotidien ce genre de sport intense pouvait bien épuiser. Il fut assez nostalgique, l'odeur des livres, la lumières à travers les rideaux, la bonne odeur du déjeuné dans tout le manoir si tôt, cela signifié souvent que sa mère était d'une humeur enjouée. Le vampire siffla dans l'oreille du blondinet "Gateaauuuuuuu" , après s'être habillés, Alois entraina son amant jusque dans la cuisine. Ce fut un désastre, de la crème sur le sol, des giclures de pates sur les murs, et au centre une maman désemparé. Elle virevolta face aux deux jeunots, et leur fit un baiser sur le front à chacun, "Alors bien dormit? Il ne fessait pas trop froid? J'ai voulut vous faire plaisir en faisant le petit déjeuné ce matin mais je n'y comprend rien avec ces machines de moldus, pire que de la magie noire" , elle fit une mine triste, Alois ce retenu de rire, elle ne s'était toujours pas amélioré à la cuisine malgré toutes ces années aux côtés de son père.

La nuit fut intense, et tout son corps n'allait pas dire le contraire. Le vampire était féroce au lit et le blond adorait ça. Se relevant il grimassa devant l'inconfort de ses fesses. Il embrassa tendrement le vampire et n'aurait pas dit non pour une nouvelle partie de jambe en l'air ! Quand le fameux mot gâteau fut prononcée il s'habilla rapidement ppur rejoindre la cuisne. Fameuse cuisine qui était devenue un champ de bataille avec au milieu la mère couverte de farine. 《 C'est très gentil de votre part de vous soucier. 》 Il fit un grand sourire à la mère. 《 Si vous voulez je peux vous aider à faire la cuisine, j'avais l'habitude d'aider ma mère plus jeune》 proposa le blond.

Des lueurs d'espoir se formèrent dans les yeux de Hilda, elle prit France dans ses bras "Ohhh ce serrait tellement adorable, mon petit roudoudou d'amour s'est enfuit quand il a apprit que je me mettais aux fourneaux" , Elle fut tellement enthousiaste, de quelques mouvement elle donna des directives aux jeunes, la seule chose qui fut compliquée était d'empêcher la mère de fouttre le feu à la cuisine et d'empêcher les ingrédients de tomber. Ce fut assez chaotique mais un bon souvenir pour Alois avec les êtres qu'il aimait le plus au monde. Au final se trouva sur la table des crêpes, des restes du gâteau de la veille, des cookies, du lait, et des muffins. Hilda continuait de chantonner pendant que le père descendit, allant embrasser sa femme et trouver sa place en bout de table, toujours en détaillant France de la tête au pieds, comme si il pouvait lire à travers son âme, Alois ne s'inquiétait pas vraiment, il n'était peu être pas très loquace mais il savait desceller la vrai valeur des personnes, le vampire était sure que France était une personne extraordinaire.

Frannie décrocha un sourire tendre à la mère. Elle était rayonnante et il ne pouvait que l'apprécier. De la farine jusqu'au nez, la table était garnie de choses délicieuses ! Prenant place au côté de son vampire. En face de lui se trouvait le père austère qui n'avait toujours pas décroché un mot. Il prit la main de Alois et la serra doucement. Au moins il y a avait pas la soeur pour leur gacher cette matinée. Il se pencha vers le brun pour lui murmurer des mots d'amour. 《J'espère que cela sera à votre goût 》 dit France au reste de la famille en désignant la bouffe avec un timide sourire. Il était aussi peu à l'aise avec le père qui ne disait rien.

Alois eu comme un petit frisson, il voyait son père sourire en mangeant une crêpe, c'était tellement rare de voir une expression sur son visage que ça en était presque terrifiant, comment France avait-il réussit ce miracle? Il gouta à son tour leur création et fut enchanté de la saveur, France savait vraiment y faire. C'est sure que comparé à lui qui ne faisait que réchauffer des plats pour une personne, il le vit comme un chef étoilé. "Ché très bon Franche tu es vraiment doué, che chui contente que tu puiche prendre choin de mon fils, il ne chait pas vraiment chocuper de lui même" , elle ne s'était même pas rendue compte qu'elle parlait la bouche pleine, son mari du essayer tout le tour de ses lèvres avec le chocolat qu'elle s'était mit tout autour. Le père d'Alois ce tourna vers France "Vous êtes très débrouillard", Alois fut secoué part ses mots, les seuls depuis qu'il soit rentré, ils n'étaient peu être pas destinés à lui mais un compliment venant de son père valait encore plus, il voyait France comme un membre de la famille. Le vampire regarda tendrement le blondinet tout sourire.

Frannie eut un rire heureux devant le compliment du père. 《 Vous savez, c'est plutôt à ma mère que vous deviez remercier car c'est elle qui m'a tout apprit. 》 avoua le plus jeune avec un tendre sourire en repensant à sa mamma et leur matinée de cuisine qui finissait en bataille. Il prit une serviette avant de la porter aux lèvres de Alois avant de l'essuyer. 《 Tu avais de la garniture》 explica Frannie au vampire avec les yeux brillants. Son malaise s'était estompé et peut être qu'il se sentirait dorénavant comme un membre de cette famille.

Le père d'Alois retenue un petit rire en regardant sa femme, "On ne peut pas en dire autant pour mon petit canarie des îles" , offusqué Hilda se retourna sec "Qu'ouïe-je? C'est avec moi que mon petit louveteau a apprit à marcher", s'en suivit une dispute des plus humiliante pour le vampire, pour savoir qui fut le meilleur parent, sortant pleins d'anecdotes. Ce déjeuner fut d'un baume au cœur pour Alois, il retrouver sa famille avec France en plus dedans, profitant de la querelle amoureuse, le brun embrassa les lèvres du blondinet, "Merci pour tout ce que tu m'a offert" , La plus grande valeur à ses yeux était la famille, quoi que l'on fasse ce sont les personnes qui nous connaissent le mieux, chez qui l'on peu toujours retourner. Le lien du sang était quelque chose de précieux pour le vampire, et il remercia chaque secondes le destin d'être à cette table.

《 Merci à toi》 murmura le plus jeune en embrassant les belles lèvres. Au début France avait maudit le destin. Maintenant, il avait créé un autel pour lui et toutes ces représentations à travers le monde. 《 J'ai bien envie d'honorer tout ton être 》 souffla sensuellement le blond en dévorant des yeux le vampire. Du coin de l'oeil il pouvait voir les parents se diputaient joyeusement. C'était le bon moment de filer pour tester les ressors du lit. Il fit un clin d'oeil suggestif à l'homme avant de le trainer derrière lui vers de nouvelles sensations !

Ce fut dans cette ambiance que se déroula les quelques jours qu'ils restèrent en Norvège , entre galipettes et séances familiale, le vampire prit France dans tout les recoins du manoir, le piano, la bibliothèque et même dans la forêt. Tout ce qu'il pouvait espérait était que ce bonheur ne soit pas éphémère, il y plaçait tous ses espoirs, au risque de pouvoir se briser une seconde fois. Il avait confiance en France, où il s'était montré si tendre et compréhensif envers les révélations du passé du brun et de son emménagement. Le jour de leur départ, la mère d'Alois ne pu s'empêcher de verser quelques larmes, elle qui avait attendu 5 longues années pour revoir son fils et le revoir partie de si tôt, mais elle fit soulager d'avoir un gendre qui prendrais bien soin de lui, elle leur fit un câlin presque étouffant. Le père quand à lui prit aussi son fils dans ses bras, étant heureux qu'il puisse refaire sa vie et trouver le bonheur, il fit une accolade à France en lui disant qu'il était le bienvenue dans la famille Ruthven. Et pour ce qui est de la sœur celle-ci ne s'était pas vraiment montré pendant leur séjour, elle ne fit pas exception le jour du départ, Alois fut vraiment attristé par son comportement où il ne la retrouvé point. Ce fut des vacances riches en émotions, où chacun en apprirent plus sur l'autre, le vampire était fier que sa famille ai approuvé l'élu de son cœur, et plus il apprenait à connaître France plus il s'attacher et son amour s'intensifié.