Oksana Illiade Gabrielle Romanov-Rousseau

Baguette

La baguette d'Oksana est un curieux mélange entre le chêne rouge et le poirier. Tout comme son frère, sa baguette est faite en Ukraine et, elle est adaptée en fonction de son porteur. Gare à celui qui ose poser sa main sur la baguette d'Oksana sans le consentement de celle-ci.  Elle mesure 30,5 centimètre de longueur, aussi fine qu'une brindille. Elle est un mélange sorcier entre le rouge et le brun, lui donnant ainsi une couleur carmine. Des runes druidesses noires sont gravées sur la baguette ainsi que des initiales : O.R.R. La baguette est composée d'une plume d'oiseau-tonnerre. Lui donnant une puissance supplémentaire mais aussi de la difficulté pour pouvoir la manier correctement. Sur le bout de sa baguette se trouve une fleur encastrer dans le bois de celle-ci. Sa couleur cristalline fait refléter en plusieurs particules les rayons de la lumière. La baguette est aussi rigide que sa porteuse. Souvent, celle-ci se retrouve dans la tignasse d'Oks ou derrière son oreille. La baguette d'Oksena est finalement que le simple allongement du bras de celle-ci.   

Famille

Elle adore sa famille. C'est pour elle, son souffle. Ce qui la maintient en vie et en bonne santé. Les Romanov-Rousseau est le mélange presque parfait de deux familles druides, une française et l'autre ukrainienne. Avec son frère, ils font partit de la branches principale de la famille. Maman Romanov est le feu de la famille alors que Papa Rousseau est l'eau. Bien que sa mère, ne soit pas très grande, elle impose rapidement le respect par son caractère de feu et ses cris. Surtout ses cris. Elle cris, matin, midi et soir. De toute façon, si elle cris tout le temps c'est de la faute d'Olek. Il a beau être l’aîné des deux, parfois elle se demande si, il y a pas erreur sur la marchandise. Il arrive souvent que dans la maison des Romanov-Rousseau, des assiettes volent ainsi que d'autres ustensiles. C'est à cause de cela, qu'Oksana a prit cette mauvaise habitude. Pendant que le frangin et la frangine se font remonter les bretelles par la diablesse qu'est leur mère. Leur père aussi flegmatique et imperturbable regarde la situation en sirotant une tasse de thé tout en lisant le dernier article du journal. Souvent, la famille voyage entre les deux maisons familiales, en France et en Ukraine. Mais, la plus part du temps, ils restent à Paris à cause du travail du père qui est un représentant des druides au ministère français, et la mère une botaniste. Leur mère avait la très mauvaise habitude de leur envoyer ses célèbres beuglantes. Rien que de penser à cela, Oksana avait des frissons dans le dos. Bien, que son frère n'arrête pas de lui répéter qu'elle a été adopter. Oksana, est surtout persuadée que celui-ci était le premier test de ses parents, et que la perfection ne fut atteint que la seconde fois. Ce qui veut dire : elle. Malgré cela, et le fait qu'elle est une famille complètement barge. Oksana ne se verrait pas dans une autre. Puis, elle adorait ses parents et son idiot de grand-frère beaucoup trop protecteur pour leur propre bien. Un jour, elle est persuadée qui va lui faire porter la ceinture de chasteté à cause des vilains mâles pervers et que ses parents donneraient leur accord sans problème..  

Caractère

Si, Oksana avait l'allure d'une brindille ce n'était pas pour autant qu'on pouvait la briser facilement. Elle se fichait bien des regards des autres, elle n'avait de compte à rendre à personne. Indépendante jusqu'au bout des ongles et paradoxalement dépendante de l'amour de sa famille. Elle est le Roseau qui se plie aux coups de vents mais qui ne se déracine pas comme le Chêne. Car, Oksana sait qui elle est. Elle n'a besoin de personne pour savoir ce qu'elle doit faire ou non. Elle est méticuleuse dans ce qu'elle entreprend, cette rigidité peut la rendre obtuse. Mais qu'importe, elle avait un avis bien tranché. Elle détestait les choses mal faites, Oks était maniaque. Et, son frère lui rabâchait souvent les oreilles avec ce trait de caractère. Elle aimait quand les choses allaient à leur place. Le moindre millimètre de trop, lui hérissait les poils. C'est pour cela qu'elle ne supportait pas sa chevelure trop bordélique et indiscipliné. Comparée à son frère, Oksana pouvait passer pour une personne austère. De toute façon, cela lui importer peu. Elle avait horreur qu'on la touche. Et, peu de personnes avait le privilège de pouvoir la prendre dans leur bras. Tout comme son père, Oksana peut se montrer flegmatique. Elle a dû mal à compatir pour l'humanité. Oks est mal à l'aise quand elle voit des larmes, et, elle essaye maladroitement de réconforter. Mais, Oksana n'est pas simplement une poupée de cire qui ne sourit jamais. Elle est la combustion parfaite entre ses deux parents. Derrière ce caractère inaccessible, se cache un feu destructeur. Ses colères, peuvent être mémorables et flamboyantes ! Son sourire lumineux, lui creusant ainsi deux fossettes qui rajeunit son visage. Oksie est téméraire, passer outre le règlement lui donne un sentiment de liberté. Elle déteste être confinée dans une norme, qu'elle ne c'est pas elle-même imposée. Son passe-temps favori est d'embêter son frère et de toutes les manières possibles et du monde entier. Elle ira jusqu'à concocter une fausse bêtise pour lui porter préjudice. Qui avait dit, qu'entre frère et sœur ce n'était pas aussi que de la amour vache. Même, si elle adore embêter son frère, Oksana l'aime plus que tout. Parfois, quand elle est blessée, Oksana se cache derrière son cynisme et son sarcasme. Étrangement, et bien qu'elle ne veut pas l'admettre. On peut lire dans Oksana comme un livre ouvert. .
   

Physique

Oksana avait l'allure d'une brindille. Trop grande pour son âge, bien trop maigrichonne et d'après son frère : aussi plate qu'une écorce d'arbre. Son visage fin était caché par un rideau de feu, où boucles, ondulations, nœuds étaient mélangées dans un joyeux petit bazars de mèches : héritage des femmes de la famille Romanov. Une véritable entité machiavélique, le Sauron des mécheux ! Elle s’efforçait à la combattre et nombreux  avaient péris;  un cimetière de brosses, de peignes ou autres ustensiles de torture se trouver entasser sur le sol de sa salle d'eau. Chaque matin, elle faisait  une minute de silence pour ces soldats morts au combat contre sa tignasse.

Son visage creux était bouffé par quelques tâches de rousseurs, de grains de beauté et de coupure du à sa maladresse.  Les yeux de la jeune fille avait la forme d'un grain de riz, d'un bleu kaléidoscope au nuance d'un champs de lavande, surmonté de cils blonds. Un nez mocheté de rousseurs et une bouche charnue lui créant ainsi une moue boudeuse, lui donnant un ensemble enfantin. Ses joues creuses étaient souvent colorées d'un rose vif, signe de gêne ou du fait que son frère adorait lui pincer la joue tout en se moquant gentiment d'elle. Bien qu'elle n'est que quinze et la morphologie d'une enfant en pleine croissance, son visage faisait contraste, lui donnant une certaine maturité et trompant ceux qui la regardaient.

Une légère odeur de pain d'épice et de pin se dégageait de la rousse. Ses mains pales et osseuses sont souvent couverte d'encre et de peinture ainsi que d'écorchure à cause des travaux manuels qu'elle pratiquait en dehors des cours. Pas un pli était visible sur sa chemise blanche, pas une tâche sur sa jupe, même hauteur pour ses deux souchettes et des chaussures cirées tout les matins. Et, cette rigueur dans ses vêtements contrastait grandement avec le foutoir qu'était ses cheveux.  

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L'après-guerre