Le vie d'Alois n'était pas vraiment palpitante, c'était du boulot métro dodo, il n'avait pas vraiment de but précis dans la vie, juste vivre, pas vraiment une existence à proprement parler...C'est ainsi qu'il récupérait un semblant de joie de vivre à travers les artifices comme l'alcool et la séduction, sinon la vie serrait d'un ennuie mortel surtout pour un vampire. C'est ainsi que depuis qu'il vit dans la belle capitale, il prit pour habitude de faire sa tournée des bars quotidiennement, c'est à dire tout les soir. Celui-ci comme souvent il décida de porter une chemise noir avec les deux boutons du haut ouvert, ces seuls moments où la symétrie s'égare, et où il tient sa veste sur son dos. Il fut assez connu dans le milieu, il n'avait pas besoin d'ouvrir la bouche, les barman savaient déjà, le Canard Laqué ne fit pas exception ce soir-ci, il s'installa au comptoir, et on lui fit servir un bloody mary avec une petite cerise qui flottait, il adressa un sourire à son serveur, le personnel avec qui il n'eu pas de relations coquines se comptait sur les doigts d'une seule main, c'est pour dire qu'il se jetait des défis parfois, qui sait, ce soir peu être aurait-il une prise? Ce fut aussi le moment où il se figea quand il vit dans son angle mort le petit tâche de son de la dernière fois, il était assis avec un siège d'espace, comment avait-il pu le rater, c'est à dire qu'avec son pantalon moulant il aurait du reconnaître ses jambes qui exécutèrent un déhanché d'enfer la dernière fois. C'était quand même un hasard trop gros pour que s'en soit un, la banque, le bureau et le bar maintenant, Alois se pose de sérieuses questions et laisse son esprit divagué, c'est vrai que quand on passe son temps libre à lire des romans on finit par s'évader du notre. C'est ainsi que le vampire sirota sa boisson, jouant des fois avec la petite cerise, tout en laissant son esprit divaguer, peu être un petit peu trop sur le blondinet d'à côté.

Revenant dans le monde qui l'entourait, il se prit d'une envie d'offrir une boisson à tâche de son, certes il n'avait pas était des plus tendre avec ce France mais il ne lui avait pas non plus rendue la tâche facile, toujours à le titiller, le vampire devait-il s'arrêter là? Non c'était trop tentant pour stopper la machine du destin. Il demanda alors au barman de servir un champomy au petit blondinet d'à côté avec une voix enjôleuse et suave. Avec cet art de l'éloquence, c'est ainsi qu'il eu souvent ramener ses conquêtes dans son lit, mais pas avec sa langue de chimère c'est sure, il décida donc d'appâter le poisson en le stimulant un peu plus, pour ainsi le faire mordre l'hameçon. Il tourna sa tête et servit alors un de ses plus jolies sourire, de personnes désolé et sincère qu'il put. L'appât était jeté.

Alois fut plutôt amusé par l'attitude que le petit blondinet adoptait le voyant paniqué et rougir à la fois, ce qui lui donna un sourire en coin. C'était un peu comme un jeux chat et souris, qui le distrayait fortement, cela faisait longtemps qu'il n'avait pas eu un rival, avec des échanges assez épineux, finalement il appréciait bien le hasard pour une fois, mais celui-ci même lui piqua sa proie, surement un petit ami ou un date qui sait, vu la personne de tâche de son, cela ne le l'étonna pas, il devait être très convoitait. "Et mais moi aussi d'ailleurs" s'empressa de pensé le vampire, l'instant d'une seconde il avait oublié à qu'elle point il pouvait faire fantasmer ses cibles, il décida donc de se rendre du côté du cabaret. Il s'assit à une table et vit les deux jumelles qu'il eu croisé une semaine avant, séduit par leur jeux de jambes avec leur fouetté sur scène, une chouette expérience, il conversa donc avec les demoiselles en s'enfilant cocktails après cocktails au fil des heures, force à cette habitude malgré tout l'alcool du monde il restait sobre. Pendant son batifolage il se prenait a imaginer France à la place d'une des danseuse du cabaret, faut dire qu'avec son petit déhanché de la dernière fois, il pouvait bien se demander que pouvait-il valoir sur scène, puis se reprenant, il réalise peu à peu son obsession envers le petit blondinet, il devrait franchement arrêter de le voir partout ça en devient gênant pour sa santé mentale.

Pendant cette soirée en charmante compagnie, Alois ne pu s'empêcher de zieuter vers la table du blondinet, il aurait surement voulut être à la place de son partenaire recherchant l'amour, mais lui en était-il encore capable? Après avoir eu le droit à de multiples baisers volés, il remarqua la solitude de son rivale affalait au bar, après toutes ses pensées à son égard et sa méchanceté gratuite, ceux-ci le poussèrent à rejoindre France, il s'installa à ses côté et lui commanda un cocktail, de quoi renouer le dialogue. "Celui là c'est pour le bureau..." Alois n'avait pas pour habitude de s'excuser, mais face à la détresse de tâche de son il ne pu lui resister, avait-il surement en tête de conquérir ce soir le petit cracmol? ça se pourrait bien, c'était la pêche aux points maintenant. Alois essaya à travers les cheveux du petit Frannie d'engager un duel en l'affrontant du regard, souvent un silence et des gestes valent plus que des mots, c'est ainsi qu'il lui servit à nouveau un sourire, qui cette fois n'était pas vraiment calculé, mais était plus instinctif, sincère.

Ce ne fut peu être pas l'une des meilleurs des idées qu'eu Alois, le pauvre blondinet avait ce que l'on appelle l’alcool triste, il fut assez compréhensif lorsque France fit part de ses déboires amoureux, l'écoutant, il s'en foutait bien sur les bords, mais avait quand même une légère empathie face à ce malheur émotionnel, lui qui avait du mal à ressentir celles-ci. "Vous n'y êtes pour rien, votre cœur souhaite surement une autre voie pour vous?" Cette phrase pouvait surement faire Serial Lover, mais le vampire ne le disait pas seulement pour tâche de son mais aussi pour lui même. Voyant les yeux larmoyants de son voisin, Alois tendis sa main pour sécher les larmes qui coulaient le long de ses joues, il souhaitait effacer son malheur à l'aide de son pouce, en le soutenant d'un regard qui se voulait protecteur. Le vampire ne pouvait pas se réjouir devant la misère humaine, la tristesse était une émotion noble et belle à ses yeux.

Voyant le blondinet replonger sa tête, Alois fit percé par sa détresse, l'avait-il blessé? Cependant il ne pansa guère avoir fait de gestes déplacés, pour une fois. Son cœur se serra face à tant de douleur, il entreprit donc de rendre le sourire au petit cracmol, cette lueur de rivalité, et ce regard de rébellion lui manquait. Il se leva et prit le petit France par le bras pour le ramener au côté cabaret, il était déterminé à passé une bonne soiré, avec lui, c'était sa proie. Allez il en avait déjà ramener des plus têtu dans son lit, tâche de son ne ferra pas exception, avec un petit bonus de faire craquer le vampire, ce qui n'ai pas donné à tout le monde. Il fit asseoir son invité à ses côtés sur une banquette assez reculé, où il pouvaient jouir d'une assez grande intimité. Sachant pertinemment que France n'allait pas s'offrir si facilement, Alois entreprit de lui mordiller l'oreille, une manie assez récurrente chez le vampire, il lui prit aussi les mains dans les siennes, il voulait clairement faire comprendre ses intentions.

Quand il sentit le jeune cracmol se blottir contre lui Alois ressentit comme une chaleur perdue l'envahir, pourtant des conquêtes il en a eu, mais Frannie fit le seul à lui faire ressentir des sensations fortes et véritables. Il voulait aller plus loin, pour sceller, comme une sorte de déclaration, il parcourut de la main de torse de France, jusqu'à arriver à sa joue, la caressant du pouce, il engagea alors un tête à tête, plongeant ses yeux cristallin dans les yeux émeraudes de la source de ses désirs. Il s'approcha dangereusement jusqu'à sentir sa respiration, à quelques centimètres il sentit ses lèvres trembler, comme avec une légère hésitation, mais le futur ne l'effrayait pas, il les déposa alors contre celles de France, d'une douceur exquise, d'un gout enivrant, il fut comme bouleversé à son tour. Il prolongea le baiser avec une certaine fougue, où il ramena sa main derrière la nuque du blondinet. Même si le temps fut arrêter il du reprendre son cycle, tel les battements de cœur d'Alois. Il retira ses lèvres et fut prit d'un élan de regret, venait-il de percer une si belle innocence? Et si France le rejetait, après toute l'humiliation qu'il lui avait fait subir? Alois se mit alors à regarder dans le vide perdue, avec la boule au ventre.

Le dévisageant d'une certaine envie, il fut néanmoins surprit par sa requête, lui qui avait l'habitude de menait la danse il se trouva à suivre sur le talon. Il eu un soupir de soulageant sachant que le petit blondinet ne le repoussait pas, et fut prit d'un esprit enjôleur quand Frannie avança son visage vers le sien, toutes ces tendresses lui fissurèrent son cœur de glace, pour une fois il se laissa dompter. En guise de réponse il acquiesça d'un hochement de tête, l'esprit trop en vrac pour formuler une réponse composé d'un sujet/ verbe/ complément. Ce fut comme une éternité pour Alois, il redécouvrait des sensations qu'il crut perdue à jamais. Reprenant le contrôle de ses esprit et de soi-même, il prit à nouveau les mains de sa conquête dans les siennes,engageant à nouveau le duel de regard, il laissa échapper de ses lèvres un "Avec plaisir", il essaya de rassurer le cracmol qui semblait toute chose en rapprochant ses mains vers son cœur et lui servant le sourire digne d'un âme sœur.