France eut dû mal à se lever. Les yeux collés à cause du manque de sommeil et de larmes. Sa vie n'avait aucun sens sans Alois. Il était triste que l'homme ne soit pas venu. De plus il était sûr que la soeur lui avait cassé du sucre sur le dos. Habillé d'une chemise piqué à Alois lui arrivant aux genoux. Sur son canapé était allongé Giani qui le fixait. Il lui marmonna un simple bonjour, avant de faire du café. Il voulait avoir Alois et non pas Giani. Destin de chiotte ! De toute façon, France était fidèle en amour. Malgré tout, Frannie doutait des paroles de Alois. Avait il vraiment confiance en lui ? Ou cette peur de le perdre lui faisait tourner la tête et l'éloigner l'un de l'autre? France avait besoin de son vampire. Et cela lui faisait mal au coeur. Il ne voulait qu'une chose c'est qu'il déboule avec son cheval blanc dans son appartement.

Le vampire fut réveillé par le bruit de sa sœur qui s’était bien mit à l’aise et avait prit d’assaut la cuisine. Alois s’était mit en tête d’aller s’excuser auprès de France, il devait le détester a présent pensa t-il. Rien qu’à cette idée il se gifla mentalement, il ne voulait pas y pensé, il ne voulait pas savoir si il avait tout gâcher entre eux, alors que leur amour changer sa vie en paradis sur Terre. Il décida de prendre son courage à deux mains de se lever et de se mettre quelque chose de potable sur les fesses, « Tu ne va quand même pas t’excuser, il pourrait de nouveau te faire un sale coup et tu risque de ne pas te relever » , Lucetania le prit dans ses bras, il se laissa étreindre quelques instants pour pouvoir affronter les reproches du cracmol. Dans tout les cas c’est lui qui était en tord, et donc de faire le premier pas, il ranimerait la flemme si elle venait à s’éteindre. Il se dégagea des bras de limaces et alla toquer à la porte de France avec comme une boule de poil dans la gorge,

Le nez plongeait dans la pâte à crêpes. France essayait de relativiser et de faire fuir la douleur. Par moment, Giani venait lui taper la discussion mais les phrases du blond étaient souvent courtes et ponctuées par des "oui/non". L'italien avait alors laissé tomber, et s'amusait avec deux boules de poils sans poils. L'odeur de crêpe avait envahit son appartement. Il aurait aimé partagé ce repas avec Alois et non pas avec son ami d'enfance. Il aimait énormément Giani mais pas autant que le vampire qui avait prit une place fondamentale dans sa vie. Soudain, il entendit quelqu'un toquer à sa porte. Laissant la poile sur le feu et dit à Giani de s'occuper des dernières fournées. Le cracmol partit ouvrir la porte. Quelle ne fut pas sa surprise de voir Alois. France oubliait rapidement l'odeur de cramé, Giani, la soeur et le fait qu'il portait seulement une chemise à Alois. Tout son être était centré sur le vampire.

Alois fut accueillit par un autre Alois du moins par la chemise, mon dieu ce qu'il le trouver diablement craquant. Mais il revint vite à ses esprit, en pensant qu'il avait surement dormit avec le tissu pour amoindrir sa solitude. Quoi qu'il en soit il était déterminé, il ferait tout pour recoudre les cicatrices laissaient par leur dispute, "France, je m'excuse pour hier...Je n'étais plus moi même" , Il s'arrêta quelques instants, ses pensées étaient vraiment dans un bordel pas possible, il ne pouvait empêcher sa jalousie, mais il lui fessait confiance, il l'aimait tant à vouloir l'enfermer pour lui seul. Il n'osait cependant pas approché du jeune homme par peur de le brusquer, mais il n'avait qu'une envie, celle de les serrer fort contre lui et ne plus le laisser partir. "Je t'aime, je sais que j'ai été un bon connard hier, et pleins de fois d'ailleurs...Mais je tiens à toi plus que tout, je crois en notre avenir, et je veux te faire confiance" , ses cernes lui rendait les yeux plus petits, entre un paire d'heures de sommeil et une patate qui s'était étalée sur lui, bonjour la déclaration sous somnifère.

Ses joues se teintèrent de rouges devant la déclaration du vampire. En plus les crevasses sous les yeux de celui-ci, fit mal au coeur au cracmol.  Il ne savait quoi répondre. Son coeur et sa conscience se battaient. L'un voulait sauter dans les bras d'Alois et l'autre lui donner un coup de boule. Soupirant, il se décala légèrement, pour s'appuyer contre sa porte. "Je.. J'avoue que je ne sais quoi répondre" répondit Frannie le regard fuyant. "Je veux dire, j'ai des sentiments pour toi. Mais hier, tout ma dépassé. La venue de Giani, ta réaction, le commentaire de ta soeur." Et France était extrêmement blessé par ce qui s'était passé. Il savait que le comportement dragueur de l'italien n'aidait pas. Mais c'était dans la nature de son ami. Puis il n'avait aucune raison que celui-ci le drague. Il avait toujours cru Giani hétérosexuel avec le nombre impressionnant de ses conquêtes. "J'ai confiance en toi Alois. Mais j'ai besoin que tu comprenne que je n'aime que toi et personne d'autre.  Et je veux que personne d'autre ne remette en doute ma fidélité !"  s'exclama mécontent le plus jeune. Il se rapprocha et pinça la joue de Alois avec un sourire espiègle. "Rentres, j'ai fait des crêpes" dit simplement le cracmol en guidant le vampire chez lui. "Fran' t'as crêpe sent le cramé" cria Giani sur le balcon avec une cigarette au bec. "Mec, t'es pas sérieux ! Je t'ai dis de surveiller la cuisson !" marmonna mécontent France en se précipitant vers sa crêpe carbonisée. Il tendit l'assiette remplit de bouffe vers Alois avec un petit sourire. Dans ce simple geste, il montrait au vampire qu'il était à demi pardonné. Leur relation ne faisait que commencer mais elle venait de se fragiliser avec cet événement. Malgré tout, il était fou amoureux de Alois.

Le vampire fut à demi-soulager des mots de France, sa peur d'être remballer avait disparu, mais il avait peur d'avoir laissé une fissure dans leur amour, il est si facile pour lui de s'en vouloir pour tout. Alois ne pu s'empêcher de mater le derrière du jeune homme, pour cause l'un de ses fantasmes, la chemise, pourquoi devait il être si attirant avec tant d'insouciance, c'est normale que le vampire ai peur avec toutes ces personnes qui pourraient être séduites par son charme. Ses yeux s'éclairèrent devant cette quintessence qu'étaient les crêpes de Frannie, il en gardait un bon souvenir, ses cernes disparurent presque comme par magie et les pupilles de ses yeux étaient dilatés comme celles des chats. Croquant dans la sienne avec passion, "France je remetais pas en doute ta fidélité, j'ai confiance en toi, et puis te toute façon tu n'a plus vraiment le choix" , il lui fit un sourire joueur pour ensuite jetait un regard noir à l'homme sur le balcon "Par contre je ne supporte pas que l'on courtise ma dulcinée tel un duc d'Anjou" .

France fit un grand sourire à Alois en le voyant dévorer ses crêpes. De dos, il commença à faire la vaisselle sans remarquer que le vampire venait de jeter un regard noir à Giani. Fredonnant une vielle chanson italienne, il balança les hanches au gré de la mélodie. "Si tu as encore faim, Alois tu peux te resservir. Je t'ai aussi préparé du café" dit le cracmol avec les yeux pétillants. Il ne fit pas attention à la phrase du brun, et but une gorgée de son café avant de se retourner et de faire un petit sourire. "Je suis content de te voir ici" souffla le blond en dévorant des yeux Alois. Il prit quelques crêpes pour aller les apporter au squatter de balcon en lui signalant que la garniture n'allait pas venir jusqu'à lui. Retournant à sa place, il se mot en face de Alois. " Oh, vraiment je n'ai pas le choix ?" taquina gentiment le cracmol. "Et comment tu vas t'y prendre pour me l'imposer mon coeur ?"

Le vampire fut obnubilé par ce déhanché digne de Belzebuth, il se sentit bien toute chose, surtout quand il remarqua un petit gout de fer sur ses lèvres, il était en train de saigner du nez tel un gros pervert, il essaya tant bien que mal de retirer ce petit inconvénient. Il était simplement illuminé par la présence du jeune homme tout sourire, il eu du baume au cœur de le voir si réjouit de sa présence, savoir que l'on est désiré faisait toujours son petit effet. Face à la provocation du blondinet il leva ses fesses de la chaise et attrapa France par le col, "Par exemple je pourrais te prendre sur la table mais ce n'est politiquement pas correct, mais tu es déjà tellement mordu de moi que tu ne peux plus t'en passer n'ai-je pas raison?", Alerte vampire narcissique en approche ceci n'est pas un exercise. Alois prenait un malin plaisir à retourner les choses, lui même ne pouvait plus vivre sans France, l'un sans l'autre n'avait plus aucun sens.

Levant les yeux au ciel, France faillit éclater de rire devant le sérieux de son crush. Il lui pinça la joue en signe de rébellion. 《 Des promesses mais peu d'action 》 répondit au tac au tac le blond. 《 Puis j'ai toujours Robert pour le réconforter ! 》 s'exclama Frannie avec amusement. Robert n'était pas une personne mais un canard en plastique qui se trouvait dans sa salle de bain. Un jouril faudra qu'il le présente à Alois surtout pendant leur partie de brouette. Baissant les yeux il remarqua une traînée de sang au niveau du nez. Soucieux, il attrapa un morceau de serviette pour enlever cette traîner. 《 Ça va ? Tu t'es fait mal ? Tu as besoin de quelques choses ? 》 Frannie s'était transformé en infiermier personnel pour le vampire.

Alois sourit devant l’innocence de France, si seulement il savait, « Non ne t’en fais pas, ce n’est pas grand chose » , d’un autre côté il était plutôt soulager que le jeune homme ne soupçonnait pas sa dépravation qui été la cause du nosebleed. Au final le vampire fit le tour de la table et souleva le blondinet pour le porter sur une épaule, tel un sac à patate, « Je vais te montrer alors » tout enjoué, il allait bien lui faire comprendre qu’il ne pouvait plus s’enfuir de ses griffes et qu’à jamais il soit sien. Il déambula alors jusqu’à sa chambre et ferma la porte à clef, jetant sa dulcinée sur lit qui crissa avec les ressort, « Ah et je crois que ça aussi m’appartient » , il lui retira sa chemise dévoila le corps à la peau lisse du cracmol, et ce n’était que le début d’un réconciliation sous la passion charnelle.

Avant que France ne dise "ouf" il se retrouva sur l'épaule du vampire. Il avait l'impression de remonter des années en arrière et de se retrouver à la préhistoire. Pour se venger il pinça la fesse de Alois. Il était pas une bonne femme nom de Zeus ! France se retrouva balancé sur son lit avec un vampire endiablé lui déchirant la chemise. 《 Alois ! C'était ma préférée ! 》s'exclama le blond mécontent de voir son pyjama en piteux état. 《 Tu es sûr que tu es en état de faire la brouette avec moi mon coeur ? 》 demanda France inquiet que le vampire resaigne du nez. Il lui embrassa le front tendrement heureux de retrouver son copain. Le cracmol oublia rapidement Giani, la soeur et ses deux chats. Il était obnubilé par Alois et ses yeux.

« Je t’en passerais une autre » , de toute façon il ne s’habille principalement que de ce tissue alors une de plus ou de moins la belle jambe, d’ailleurs sa troisième était bien réveillée. Il caressa la tignace blonde de son amant, il se sentait si serein à présent, pas comme si de rien était, mais un grand soulagement et un peu de fatigue au passage. Il commença à le picorer de baiser, trop heureux de s’etre enfin réconcilier, il n’aurait pu le supporter plus longtemps. « C’est pas ma faute si tu es aussi attirant » , tant pis pour son image de beau vampire ténébreux, place à Alois le pervers dévergondé.

《 Alois, tu es adorable》 marmona Frannie rouge en caressant les cheveux du vampire. Le compliment avait fait un boum dans tout le corps du blond. Il jeta un regard en coin à la chemise qui avait rendu son âme. 《 Malgré tout, je l'aimais bien. Il y avait ton odeur 》 avoua le cracmol en rejettant la tête en arrière face aux marques d'amour. Il mourrait d'envie de faire des choses coquines avec Alois. Mais il n'avait aucune envie que Giani et la soeur les écoutent. Ce moment devait rester entre eux. Puis, il était pas sûr que Alois tienne la route. 《 Tu as l'air épuisé, tu es sûr que tu es prêt pour faire une sodomie dans les règles ? 》 demanda France soucieux du plus vieux. Une sieste ne leur ferait pas de mal.

La fatigue n'aura jamais le dessus contre le désir que le vampire éprouvait pour France. Il le voulait comme jamais, il le tringlerait tel un rideau, "J'aurais tout le temps de me plonger dans un coma après", il lui mordilla le lobe sensuellement, lui glissant des mots doux par moments. Il ne voulait pas le baiser, mais lui faire l'amour, aussi passionnément que son corps lui permette, et il se laisserait ensuite guider par Morphée au pays des songes. "Je ne gâcherais nos retrouvailles pour rien au monde, je t'aime" , il l'embrassa tendrement, tel une petite jouvencelle qui exprimerait ses sentiments pour la première fois. Pour ce qui est de la chemise il avait une pièce à conviction pour son prochain plan machiavélique, mais patience et maitre de toutes les vertus, mais le boule de France était encore au dessus.

《 Je t'aime aussi 》 répondit tendrement le cracmol en embrassent passionnément le vampire. Il se consumait de désir pour Alois. Le blond mourrait d'envie de faire qu'un avec le bel homme. Mais ces vilaines cernes sous les beaux yeux du vampire montrait à France la fatigue de l'autre. Et entre nous, il n'avait aucune envie que l'autre s'endorme lors de la pénétration. 《 Maintenant que nous avons fait des papouilles je te propose de nous allonger sous la couette et de dormir collé serré. 》 souffla sensuellement Frannie en tirant le brun vers lui. Une bonne sieste annonçait une bonne brouette ! 《 Puis tu as l'air d'être crevé mon coeur. Et je suis pas sûr que tu arrives à tenir le rythme comme ça 》 il caressa les cheveux soyeux et embrassa le sommet du crâne avec amour.

Il serrait surement plus raisonnable de se reposer pour mieux attaquer par la suite, et puis s'abandonner dans les bras du plus jeune était tout aussi jouissif, pour compenser la nuit dernière. Alois se sentait tel un marshmallow, avec ses membres tout flagada et sa lenteur, finalement se glissant sous la couette il enveloppa France de ses bras, comme pour le protéger de l'extérieur, lui bécotant le front, il humait le doux parfum de sa chevelure couleur blé. Plus rien n'avait d'importance hormis France, que sa sœur fasse bruler l'appartement lui était égal, Giani pourrait toquer autant qu'il voulait il n'en aurait que faire. "France, imagine tu Batman sans Robin? Un matin sans café? Rimbaud sans Verlaine? Moi je ne m'imagine pas sans toi" , son esprit commençait à déchanter c'est souvent dans ces moments que ces propos était en cacophonie.

"Alois, tu es grand charmeur !" répondit le plus jeune en essayant de cacher sa gêne dans le cou du brun. Tous ces compliments arrivaient à le faire rougir et balbutier des mots sans queue ni tête. Fermant les yeux, il profita du calme de son environnement et de la respiration lente de son vampire. Peut-être que Alois était un peu comme Edward ? Il brillait au soleil comme une boule de bal de promo ! Cette idée le fit glousser. Il espérait que l'autre ne se poserait pas la question de son hilarité. Bientôt, France s'endormit contre le coeur de Alois en murmurant un faible ''je t'aime". Quand il se réveilla deux heures après, il jeta un coup d'oeil endormit sur son réveil. Il était midi passé et il avait encore le repas à préparer. Le calme de son appartement lui fit comprendre que Giani était sortie. Et cela lui fit un peu mal au coeur d'avoir laisser tombé son ami. En voyant le bel vampire dormir paisiblement. France n'eut pas le sadisme de le réveiller et le laisser ainsi. Embrassant ses lèvres et tant bien que mal il essaya de sortir des tentacules. Prenant un pull rangé dans son armoire, il l'enfila rapidement avant de se mettre à la conquête de fringue pour le revêtir.

Ce fut une petite sieste certes, mais du repos quand même, après une nuit aussi chaotique ce ne fut pas de refus. Quand il eu pleine possession de sa conscience il vit son doudou préféré envolé mais il le retrouva quelques metres plus loin réfléchissant au sens de la vie. Alois se demandait bien quel était l'objet de sa réflexion, peu être chercher t-il un nouveau style vestimentaire? Le brun prenait toujours la premier chemise dans le tiroir qui passait il ne s'est jamais préoccuper d'user son temps pour réfléchir à au sens de la mode. Il vint silencieusement au derrière du jeune homme et l'embrassa dans le cou, qu'est-ce qu'il avait hate qu'ils vivent ensemble. De pouvoir chaque matin profiter de l'arome de son cher et tendre. "Où crois tu t'échapper?" , il n'avait toujours pas oublier sa promesse, et puis maintenant qu'il avait retrouver la vigueur de sa jeunesse il se sentait invincible.

Il se retourna pour embrasser tendrement son copain. Par moment il rêvait d'habituder avec Alois et d'avoir ce genre de moment de tendresse. Et il commençait à adorer ça. Pas de Giani ni de soeur juste eux. 《 Je pensais faire le repas de ce midi. 》 retorqua avec amusement le blond. Il avait comprit le sous entendu du vampire mais il voulait le voir faire son gros alpha. Il devait avouer que c'était super sexy et cela lui mettait le feu au cul de le voir comme ça. Alois pouvait se transfomer en deux trois mouvements soit en nounours soit en mec virile ! Ses doigts jouaient avec les mèches de cheveux de son crush. Bientôt il pourra envisager un aménagement futur pour les deux.

"Tut tut tut", il lui enleva fissa son pull et le prit sous le bras pour le ramener au lit, "Ah et tu ne veux pas ta petite sodomie du midi?" , "petite" était un euphémisme, il comptait bien lui allumer le feu aux fesses. Dans une forme olympiques il ne pouvait que penser à tout ce qu'il pouvait lui faire, il comptait bien rattraper cette nuit perdue. Il commença à faire monter la caliente par des papouilles, il ne voulait pas non plus brusquer les choses juste après un réveil. S'imprégnant des lèvres rouges du jeune, le vampire alla chercher son breuvage d'une couleur similaire au creux de sa jugulaire, il arrêta plus tôt que d'habitude en s'apercevant qu'il pourrait trop le fatiguer pour la suite, il préféra le préserver le plus longtemps possible.

France sursauta aux mots crus de Alois. Il se retourna vivement pour faire face au vampire. Contre ses lèvres il pouvait sentir celles de Alois et il gémit contre cette bouche de velours. Peut-être que le repas du midi allait attendre.  Cette bouche dériva vers sa jugulaire et en signe de réponse Frannie projeta la tête en arrière quémandant le geste. Le blond n'avait pas vraiment de penchant pour SM mais avec Alois il serait prêt à tous et cette sensation lui procurait un certain désir qui arrivait à le mettre en feu. " Alois " gémit piteusement le blondinet qui s'était transformé en un truc tout flagada. "Je suis tout à toi" souffla le plus jeune en se collant contre le corps musclé du vampire. Il tait prêt à faire la brouette dès maintenant sur le parquet ou contre la porte ! L'italien se fichait si Giani ou la soeur pouvaient les entendre, il voulait Alois.

France se donnait au vampire, que pouvait-il demandait de plus, cette soumission lui était aphrodisiaque ainsi que les petits gémissements, cela lui donnait envie de lui en arracher d'autres. Il chérit ce présent où il fit comprendre à son cher et tendre tout l'étendu de son amour, par de gestes doux sensuels, mais à la foi ferme et autoritaire, où se mêlait amour et désir, une belle combination pour une partie de jambe en l'air parfaite. Le débarquement improviste de Giani et de sa sœur étaient complètement passé au second plan, il se sentait encore remonté contre eux, mais son bonheur avec France était tout ce qui lui importait pour l'instant. A mainte reprise il entrava les mains du jeune homme, il aimait bien l'avoir sous sa domination totale, dans ces moments il frémissais de le savoir qu'à lui et lui seul. Prochaine étape l'aménagement.

Ce fut l'une des meilleures brouettes que France est connu. Le souffle irrégulier, il essaya de calmer ses battements de coeur. Son corps était engoudit et collant à cause de la sueur et du sperme. S' étirant tel un chat, le blond embrassa les lèvres rouges de son tendre avant de filer à la douche. Frottant énergiquement toutes les parties de son coprs pour effacer ce quart d'heure d'amour, son esprit en restera à jamais marqué devant l'intensité. Retournant dans la chambre avec une serviette aux hanches. Il attrapa le premier pull et pantalon. 《 J'ai adoré. J'espère qu'on remettra ça ce soir ! 》 souffla le blond sensuellement à Alois avec un clin d'oeil. Il entendit quelqu'un taper contre sa porte. Il ouvrit la porte et reconnu Giani. 《 Oui ? 》 dit le cracmol en regardant son ami rougir. 《 Je voulais te proposer d'aller au resto 》 demanda l'Italien.

Le vampire eu la crainte d’avoir peu être un peu trop forcer, mais voyant Frannie se pavaner comme une diva et devant son offre un petit sourire diabolique vint illuminait son visage, « Ne me tente pas ainsi » lui répondait il, c’etait tellement le bonheur qu’il pourrait le prendre à nouveau la tout de suite sur la moquette, mais il faut savoir apprécier les choses et des fois ce laisser se languir, il allait rester sage pour le moment. Mais voyant à nouveau le sujet de la dispute d’hier, il changea radicalement d’humeur, une aura machiavélique se faisait sentir derrière lui, il lui lança le regard de la mort qu’avait l’habitude de lui faire son père quand il faisait des bêtises. Il était suspendu au lèvres du blond, comme si c’etait le jugement dernier. Giani avait pas mal de culot s’imposer déjà comme cela à France, fouttre la pagaille dans leur relation et maintenant une invitation au restaurant, et puis quoi après le Love Hôtel?

Son dos s'appuya contre le torse de Alois. En vérité il mourrait de faim et il avait la flemme de cuisiner. Puis si Giani payait le repas il allait pas cracher dessus. Fermant les yeux, il réfléchissait sur la réponse à donner. Puis peut être que Alois rt Giani allaient enfin s'attendre et devenir amis ! 《 Pourquoi pas 》répondit il en hossant des épaules. 《 On pourrait aller au Canard Laqué 》 proposa Giani avec un grand sourire d'aller au resto avec France. Il avait tout organisé pour un petit dîner aux chandelles. 《 On pourrait y aller tout les trois. Comme ça vous pourriez faire connaissance! 》 Le sourire de Giani venait de s'effriter devant la réponse de Frannie.