Il s'est écoulé 3 semaines depuis qu'Alois avait batifolé avec France, depuis il avait pu faire son introspection, mais à ce jour il était toujours aussi perdu qu'avant, ne sachant pas ni quoi ressentir envers lui ni quoi faire, en gros il était assez instable. Il mentirait si il disait qu'il n'avait pas attendu ce rendez-vous avec impatience, il voulait comprendre pourquoi France et pas un autre, pourquoi arrivait-il à se sentir en vie à ses côtés. Depuis il avait prit une petite habitude d'écrire ses sentiments sous formes de poèmes pour mieux se comprendre lui-même, il en avait plein le bureau et la corbeille. Le jour J arrivé il s'était mordu la langue plusieurs fois avec ses crocs, se laissant de petites entailles, il était assez anxieux, il avait peur de l'inconnu, peur de sortir de la zone de confort qu'il s'était créer où tout était carer, mais il en avait aussi assez de cette vie monochrome. Il sentit l'odeur du sang de l'objet de ses angoisses un couloir plus loin, se rendant compte de tous ses poèmes éparpillés dans la pièce il entreprit de les foutre dans un tiroir met il n'eu pas le temps de tout cacher quand France toqua à la porte. Adoptant sa démarche carré, il alla lui ouvrir "Bonjour France Médicis, si vous voulez bien entrer" , il ne s'avait même plus si il devait faire comme si de rien ne s'était passé, après la dernière fois où le jeune le laissa pour un "autre rendez-vous" rien qu'en y repensa il voulut lui poser tout un tas de questions mais il se ravisa, c'est pas comme si il devait lui rendre des compte. Si un mot pouvez qualifié cette nouvelle rencontre ce serrait "Je-n'ai-aucune-foutre-idée-de-comment-réagir-avec-lui" pensa t-il.
Le vampire retenu un petit rire face aux provocations du jeune, il n'en tenu même pas rigueur, sa volonté était infaillible, il en faut bien plus pour le perturber. "Alors, que disent cette fois vos talents de liseuse de bonne aventure?" , Alois le retour, il n'y pouvait rien c'était plus fort que lui d'emmerder son monde, même les gens qu'il peu apprécier. Pour rendre encore le tout assez arrogant il se mordilla la lèvre inférieur, et engagea le duel de regard, comme si il pouvait pénétrer l'esprit de celui d'en face. C'était devenu un jeux, mais gare au feu, à trop s'approcher ils pourraient se brûler, cependant Alois aime jouer avec les flammes, c'est dans sa nature de toujours vouloir avoir le dernier mot. Comme au à la patisserie, il entreprit de lui faire du pieds, en abordant un sourire des plus niais comme si la situation était complètement normal, qui craquera le premier?
Il retrouvait bien la le jeune dévergonder de la dernière fois, "Bien, ce n'est pas comme si j'en avais rien à faire mais, en faite si" répondit-il avec un ton des plus insolant,Alois s'en foutait complètement de son travail, il pouvait toujours trouver un autre travail du même acabit on dit que l'argent n'est pas une solution à tous, mais dans le cas échéant si. I veux voir jusqu'où il pourra pousser le jeune, combien lui en faut il pour craquer, cependant il ressentit le pieds du jeune homme s'approchait dangereusement, la guerre serrait déclaré, mais il se contenta juste d'un regard noir de représailles de masse.
Alois vit la colère habitait le jeune blondinet, il lui saisit le poignet, l'empêchant de partir, puis desserra son emprise, il caressa ses doigts en se retirant. Comme si ce jour la ce c'était jamais passé, comme si c'était un rêve...Peu être bien qui sait, avec l'alcool et l'imagination romanesque tu vampire il aurait pu avoir un fantasme sur le bel homme aux taches de rousseurs. Cependant il ne se souviendrais pas de son odeur, il ne se souviendrait pas du goût de ses lèvres, et il ne serrait pas aussi troublé en sa présence, si tout ceci ne fut qu'une fabulation de son esprit. "Reste", comme un ordre qui fut donné, mais celui-ci était ni trop sévère ni trop plaintif, juste neutre. Alois ne savait pas communiquer, c'est comme si il y avait un mur entre lui et le reste du monde, il ne sait même plus quand cette solitude à commencer, ou était-ce juste dans sa nature. "Je m'excuse, reprenons si tu veux bien...", Alois se sentit tousser à en mourir dans son esprit, venait-il de s'excuser? Une première au bout de 29 ans, il hésitait entre le champagne, la peur de voir l'autre lui cracher à la figure.
Assez rassurer qu'ils reprennent leur position de travail, Alois avait néanmoins un goût amer qui lui restait en travers de la gorge, peu être était-il mieux de faire comme si tout ce ci appartenait à une autre dimension, où ils eurent une happy ending. "Je n'y vois alors aucun inconvénient" , ce fut la seule phrase qu'il eu dite à France dépourvue de tout sentiments, il se sentait comme à ses habitudes: vide, c'était surement cela le vrai lui. Tout ce qu'il voulait c'était qu'il se casse du bureau...Pourquoi être si contradictoire il lui disait de rester mais il souhaitait en revanche l'éloignait, il ne pouvait se passer lui mais il en avait peur, il donne à voir une allure de male dominant, mais au fond c'est lui qui était complètement dépendant de France, un mot et il pouvait tomber à ses pieds. Il se sentit tel un oiseau s'étant renduit lui même dans une cage et que l'on referma derrière son dernier battement d'ailes.
Le malaise, cette sensation qu'il ressentait précisément à ce moment la, Alois laissa échapper un petit rire, il passa à son tour sous le bureau pour l'aider à chercher sa feuille, c'était bien moins lumineux et il baissa les yeux pour voir que la feuille était pourtant bien en évidence, il regarda France un moment dans les yeux, "Tu es drôle Frannie" , il lui sourit tendrement, ils étaient la tout les deux à quatre pattes sous un bureau, normalement il devrait être utilisé pour une autre scène mais celle-ci était assez hilarante pour lui, c'était pour cela qu'il apprécié le jeune blondinet. "Je crois que je l'ai retrouvée, ainsi que toi" , il passa sa main sur la joue de son cher et tendre. Qu'était-il supposait faire, le destin se jouait d'eux, Alois ne se sentait plus de vivre sans la compagnie de France, il était son petit rayon de soleil qui animait ses jours et sa vie.
Le teint pale du vampire tourna au rouge, mon dieu ce que Frannie avait l'art pour pouvoir le gêner, sous ses aires de jeune innocent ce cachait un petit diable digne de la salsa du démon. Alois ne pouvait mesurer à quel point le jeune cracmol le faisait craquer à ce moment précis. Lorsqu'il vit France ce mordre la lèvre, apercevant une fine goute s'en échapper, il ne pu réfléchir et l'embrassa d'une fougue qui rappelait cette journée comme si c'était hier. Passant la main dans la chevelure blonde, il l'attira vers lui, pour intensifié ce baiser lourd de sens. Ce fut une réponse assez explicite, entre la feuille est France la question ne se posait même pas. "Le mien serrait plutôt de te passer dessus" , petit clin d'œil, il avait assez peur de ce qu'il pouvait dire mais de toute manière il savait qu'ils partageaient les même sentiments.
"Frannie ne joue pas l'ignorant..." , le vampire ne pouvait pas exprimer ce qu'il ressentait, il s'agissait d'un vrai brouillon dans son cœur, il pourrait sortir des mots comme ci comme ça mais ils seront dénuer de sens. Il ne savait pas nommer ses sentiments à l'égard du cracmol, c'était juste impossible, il espérait lui faire comprendre par des gestes mais en vain. Il baissa les yeux dans une incapacité de répondre, c'est lui qui le provoquer après tout à quoi s'attendait il, Alois ce demanda si au final il se jouait pas un peu de lui et de sa faiblesse envers le jeune blondinet. "Et toi, pourquoi joue tu la jeune vierge effarouchée avec moi?" , il ne sait pas si il devait regretter ce qu'il venait de dire, mais il voulait savoir pourquoi il agissais ainsi, le cherchant puis l'abandonnant sans nouvelles pour ensuite le reprendre.
Il était là, seul, assommé par la déclaration de France, pourquoi n'avait il pas comprit les attentes du jeunes hommes, il se sentait malheureux face à son accusation de tout à l'heure, il devait lui dire ce qu'il ressentait vraiment, qu'il se trompait. En ce moment Frannie était sa seule lumière, et il comptait bien la garder. Il se releva aussitôt et se précipita vers France pour ne pas qu'il parte, il le prit par le bras et le retourna pour l'avoir face à lui, "C'est une erreur de penser que ce n'est pas réciproque, car je ne tiendrai pas à toi sinon, je ne souhaiterais pas passer du temps avec toi, je ne souhaiterais pas t'embrassais si ardemment...Depuis que tu es rentré dans ma vie tout à changer, mes certitudes sur l'amour, et surtout ma solitude, tu as su ramener des couleur sur cette toile blanche bien trop abimée qu'était mon cœur..." , jamais il n'avait parlé autant sur ses sentiments, mais il voulait être clair, tout lui avouer, ne plus avoir de secrets pour lui c'était comme une déclaration, cependant il ne pourrait supporter le rejet... "Frannie, si il te-plait, ne pleure pas, c'est toi que je veux pas que ton corps, mais aussi ta personne, tu es quelqu'un de merveilleux, et je veux apprendre à te connaître encore plus".
"On ne t'a jamais dis que le désir était un péché malsain? De toute façon je m'en fou aussi" , sur ces mots susurrés il embrassa avec passion ces lèvres offertes si gentiment, comment pouvait il résistait à une bouille pareil? Certainement pas lui, il perdait tous ses moyens avec France dans les parages, comme si il ne pouvait rien lui refuser, c'est pas comme si il n'en avait pas non plus envie le coquinou. Il l'enlaça d'une manière assez forte, il voulait qu'il soit à lui et à lui seul, que personne ne puisse lui voler, en goûtant au bonheur avec France il ne pouvait plus s'en passer tel une drogue, voilà le sens de malsain, il avait besoin de lui quitte à se blesser. Mais il n'avait aucun regret, à jamais la rencontre avec Frannie serra un souvenir heureux, quoi qu'il puisse arriver dans le futur. Il eu quand même un léger rire à la fin, France qui devait se retenir depuis le début du rendez-vous pour ne pas lui sauter dessus, Alois le trouvais vraiment amusant.
C'est fou ça, qu'importe l'endroit tant qu'Alois se retrouve avec le jeune blondinet il a toujours une montée de chaleur, venait il de se faire chevauché? Il trembla de tous son corps, sa respiration fut très forte lorsque France joua avec son lobe, c'était plus que ce qu'il ne pouvait supportait, et son nom ne fut jamais prononcé avec tant de sentiments derrière, cela le rendit assez fou. "Non Frannie...", dit-il d'une voix semi-plaintif, semi-passionnée il lui griffa le dos assez sensuellement, se retenant à lui à tout ce qu'il aimait, son désir ne fut jamais aussi fort qu'à se moment la, France était bien tout ce qu'il désirer, chaque parcelle de son corps, tout dans son entièreté il voulait tout connaître de celui qui lui fessait vivre le paradis.
Jamais il ne s'était sentie tant désiré, il se sentait marqué à jamais par les suçons de son assaillant, cette fois ci il était la proie, mais ça ne le gênée pas, au contraire il ressentait l'impression d'être aimé, et il eu comme un baume au cœur. "Et moi je t'adore...Frannie" , il lui fit un baiser d'esquimau, il dégageait tout la tendresse et la douceur qu'il ressentait pour le jeune homme, il voulait partagé son bonheur avec lui, le caressant de la racine, passant derrière l'oreille, dérivant sensuellement jusqu'au cour, où il se pencha et prit sa revanche, il l'attaqua à coup de suçons, il dut s'arrêter à un moment pour ne pas devenir fou et le mordre à cause du goût de fer. Il était plutôt fier de son travail, comme cela tout les deux s'appartenait, mais néanmoins il ne voulait pas se séparer de France, c'était trop bon, il est sa drogue, indispensable à sa vie désormais, il l'enlaça encore et encore pour sentir tout son corps sur le sien, le regard pétillant, "Je ne peu plus me passer de toi".
Le coeur de France fit un bond dans sa poitrine en entendant la phrase de Alois. 《Oh, Alois moi aussi je peux plus me passer de toi 》. Il ronronna de bonheur en sentant les lèvres se déposaient sur son cou. En ressortant de son rendez vous, il allait être marqué de par tout ! Deux bras se refermaient sur lui, Frannie se laissa complètement aller. Il était en manque d'affection et Alois arrivait à le combler. France lui vola un autre baiser puis encore un autre. Il pourrait passer sa vie ici dans les bras du vampire à s'embrasser jusqu'à en perdre l'haleine. Le coeur se serra une nouvelle fois. Il voulait Alois.
Alois Ruthven
Coopération internationale et mafieux à ses temps perdus
Il aimerait tant le garder ainsi dans les bras pour toujours, sentir son cœur battre contre son corps, respirer à la même cadence, le couvrir de baiser, se donner l'un à l'autre. Mais bon le temps lui continuait de s'écouler, et il était bientôt l'heure de son prochain rendez-vous, le caressant tel un chat sous le menton il l'approcha de ses lèvres, "La journée n'est pas encore terminée pour moi, on se reverra bientôt" , il l'embrassa, leur dernier baiser de la journée avant un moment. "Avant de partir j'aimerais te donner quelque chose, mais tu devra le lire uniquement que quand tu rentrera", Alois alla pour trouver la version finale de ce qu'il mit tant de temps à écrire, sn poème, il la mit dans une enveloppe et lécha sensuellement le bout pour la refermer, et il lui tendit. "Je t'...A la prochaine Frannie".