Plusieurs sentiments tourbillonnaient au creux du cœur d'Alois, comment était-il supposer réagir? Il était heureux que France se soucis de voir sa famille, mais d'un autre côté les revoir au bout de 5 ans d'absence c'est dure à encaisser. C'est avec un nœud à la gorge et les yeux gorgés d'étoiles, qu'il tenait la main de Frannie le guidant sur un chemin sinueux entouré par la forêt. Sa famille disposait d'un domaine à l'écart de la masse vivante, assez éloigné des routes principales. Il jetait des coups d'œil à France pour essayait d'y déceler ce qu'il pouvait bien ressentir. Il espérait sincèrement que le jeune homme n'allait pas s'enfuir entre l'atmosphère glauque et les personnalités assez marquées de sa famille. Arrivés au bout du chemin, se dressait une demeure assez large avec des couleurs sombres où l'on pouvait discerner des lueurs surement provoqués par des chandeliers et des bougies. Ils entendirent alors des bruits de pas qui se pressaient et virent surgir une masse blonde avec pleins de feuilles s'étant entremêler dans sa chevelure, c'était la sœur d'Alois. "Je le savais! Pas de lettres, aucune visite...oh tu as ramené un goûter pour te faire pardonner?" , toujours aucune manière pensa Alois, outré par le comportement de cette chipie, il prit soin de prendre France par le bras et de le rapprocher de lui, "Non, c'est mon petit ami, pas touche" .

Ok, bon que devait il faire dans ce genre de situation ? Gardant toujours un sourire agréable et ne voulant pas montrer sa peur le cracmol tendit sa main pour serrer celle de la soeur de son copain. A ses côtés il pouvait sentir le vampire être tendu et du bout des doigts il caressa la paume de celui ci. Le pauvre bébé n allait pas nous faire un arrêt cardiaque sur place ? 《 Enchanté de vous rencontrer miss, malheureusement je ne suis pas le casse croûte. Mais j'ai apporté des macarons et du vin 》 déclara le blond avec un sourire.  Autant caresser la soeur dans le sens du poil et sucer le frère par la suite. 《 Très jolir maison 》 siffla Frannie impressionné par autant de luxure.

La petite chippie ignora complètement France, et prit la main disponible du vampire, celui-ci sentit comme si elle se retenait de déferler son flot de colère sur lui. Le groupe fit entrainer dans l'immense demeure des Ruthven, un haul assez spacieux mais vide, elle prit la première porte en face, où ils débouchèrent sur une sorte de chambre à serre, où étaient disposé toutes sortes de fleurs et de plantes, cependant la plus belle de toute fut celle avec des yeux cristallin, une chevelure comme du crystal, avec des cernes astronomiques. Il y eu un léger silence de quelques millisecondes, avant que la madame se jette sur son fils "Mon petit louveteau chéri! Que tu as grandit! Tu manges bien n'est-ce pas? Tu n'a pas maigri? Personne ne t'embête? Tu le dirais à ta maman si quelqu'un te faisais du mal non?" , le vampire la coupa en essayant de repousser cette sensu, "Je vais très bien maman, et je te présente France, nous sommes ensemble, France voici ma mère" , à ses mots la mère d'Alois se jeta à nouveau sur le jeune blondinet "Que tu es mignon, je m'appelle Hilda, mais tu peux m'appeler belle maman, tu as qu'elle âge mon petit bichon? C'est quoi ton signe astrologique? Tu aimes les fleurs?" , Alois se sentit rougir gêné par l'aplomb de sa mère et il reprit France de ses griffes.

France se foutait comme de son premier caleçon que la blonde l'ignore. Il était en couple avec le vampire et non pas avec sa soeur. Et ce n'est pas une peste de première qui allait effrayé le cracmol. Il fallait dire que dans sa famille, les deux jumelles étaient de vrais petits monstres surtout la sorcière. Avant qu'il n'est eut le temps de jeter un coup d'oeil au vampire il se retrouva serrer dans des tentacules. Gesticulant pour essayer de se libérer et ne mourir étouffer, il se rendit compte que ce n'était autre que la mère de Alois. Une femme avec un bel sourire aux lèvres. Son commentaire le fit rougir jusqu'aux oreilles, que devait-il répondre ? "Bonjour madame, enchanté de vous rencontrer. J'ai 24 ans,  je suis Verseau et oui j'aime les fleurs " répondit le blond avec un grand sourire. Finalement ce n'était pas si horrible que ça cette rencontre ! Puis, un jour il faudra faire un grand repas de famille avec la famille Ruthven et Medicis. Il serra la main de Alois dans la sienne.

Jamais il ne fut aussi heureux, d'être entouré de ceux qu'il aime, il s'agissait d'un petit nombre, mais c'est ce qu'il les rendaient précieux. La seule chose qui a changeait dans sa vie, fut Frannie, et aussi le fait que sa mère semblait plus petite que lui, "Je vais faire visiter le reste de la maison à France" s'empressa d'ajouter Alois avant que sa mère finissent pas étouffer son cher et tendre, sentant sa main dans la sienne et il se dirigea vers la sortie, "Nous n'avons plus remit les pieds dans ta chambre, je viendrais changer les draps pour que se soit plus confortable, oh et n'oubliez pas de vous protéger c'est très important, tu sais avec ton père il y a quelques semaines...", "Maman!!" Rouge de honte le vampire claqua la porte, il savait très bien qu'elle allait dériver sur sa vie sexuelle épanouit avec on père, mais il avait aucune envie d'avoir ce genre d'images dans la tête. Il commença à le guider à travers les couloirs sombres, où il s'appliquer d'allumer chaque bougies sur son passage, "Excuse moi, elle est assez intrusive mais elle est très gentille" , il eurent monter des escaliers en colimaçon pour arriver dans la chambre du brun. Rien avait changeait, juste de la poussière qui s'était accumulé et qui flottait dans l'air à la lueur des fenêtres. Sa chambre étaient remplis d'étagères de livre semi rangés et d'autres étalés par terre ne trouvant pas leur place. Il s'assit sur le bord du lit et lui tapota pour le faire venir. "J'espère que tu n'es pas trop intimider, j'ai eu peur à plusieurs reprises que tu ne t'enfuis, haha" , il eu un petit rire gêné, entre la sœur et la mère et se demanda qui était la plus effrayante.

En sortant de la pièce Frannie ne put s'empêcher d'éclater de rire face à la remarque de la daronne. Il lui en fallait plus pour être embarrassé, entre sa mamma, son cousin et son frère... Il posa ses fesses de cracmol sur le rebord du lit et contempla la belle chambre de Alois. Elle était beaucoup plus chaleureuse que son appartement. "Ne t'inquiètes pas. Ta mère est adorable. " Il eut un sourire tendre avant de se lever et d'embrasser les belles lèvres. "J'espère que tu ne m'en veux pas de t'avoir cacher se voyage. Je voulais te faire la surprise. " Le blond entrelaça ses doigts avec ceux du vampire dans un geste amoureux. Il n'aurait jamais cru qu'il tomberait aussi facilement amoureux de Alois que ça. Surtout avec leur première rencontre. Il se sentait épanouit et heureux avec lui. "Je t'aime" murmura le plus jeune contre l'oreille du brun. L'italien était prêt à affronter le monde pour le coeur du plus âgé !

Alois se laissa emporter par tant de tendresse de son âme sœur, "Oui, je n'ai jamais étais aussi heureux, merci mon amour" , il l'embrassa avec passion, comment ne pas résister face à tout ce que le jeune faisait pour lui, le vampire ne savait pas si il se rendait bien compte de ce que cela pouvait signifier pour lui, il décida de le remercier à sa manière. "Je ne sais pas si tes fesses s'en souviennent encore, j'aimerais bien vérifier" , avec France il commença à prendre des leçons sur comment ne pas châtier son vocabulaire, qui sait un jour l'élève dépassera le maître, mais bon il avait une sacrée marge. S'allongeant sur lui il commença par lui mordiller l'oreille, passant sa langue sur la jugulaire, il le voulait plus que tout, "Je peux?" , tel un enfant devant un magasin de jouets, ne demandant qu'à rentrer.

Il se retrouva rapidement sur le dos sur le lit qui avait vécu l'adolescence de Alois. Frannie se laissa faire avec joie devant les attentions de son petit-ami. Il hocha la tête en signe d'accord pour la morsure. France avait toujours adoré cette sensation , aussi étrange que cela puisse paraître. Avec une simple morsure, tout son corps était stimulé et devenait ultra-sensible. Toutes ces nouveautés qu'il connaissait avec Alois, le rendait heureux et comblé. "Alois, mes fesses adoreraient se souvenir mais je ne pense pas que tes parents et ta soeur vont adorer nous entendre copuler alors que cela ne fait même pas vingt minutes que nous sommes arrivés'' répondit tendrement le plus jeune en caressant les cheveux brun. Cela ne lui dérangeait pas de coucher avec Alois, mais avec tous ces vampires dans cette même maison avec une ouïe assez développer il était un peu refroidit. Surtout avec le commentaire de sa mamma de leur dernier voyage. "Puis nous avons tout ce soir pour que tu me culbute le cul avec joie !" s'exclama tout content le blond de sa décision. Puis il avait très envie de visiter le reste de la propriété ainsi que la forêt. "Et je dois t'avouer que j'ai quelques fantasmes que j’adorerai réaliser avec toi, mon coeur" murmura sensuellement le plus jeune en embrassant les lèvres.

Non définitivement, Alois ne dépassera jamais son sensei, il était au niveau 666, l'enfer de la luxure. "J'aimerais bien t'aider à les réalisés alors" , sensuellement il le mordit une nouvelle fois, quels sont ses fantasmes à lui, le sang était déjà si exquis il ne s'imaginait pas que quelque chose d'autre puisse être plus enivrant. Il décida alors de continuer à faire faire son petit tour dans la demeure, le vampire redécouvrait aussi par l'occasion ce qui semblait être si lointain dans sa mémoire. Ils passèrent dans la sale où trônaient au centre un piano, et divers autres instruments, il expliqua que c'était son père et lui qui en jouaient, sa mère et sa sœur avaient deux mains gauches mais étaient extrêmement douées en botanique. Vint ancienne une grande bibliothèques, avec des livres historiques, des parchemins d'autres époques, des bouquins de magie noire, il montra aussi la chambre de sa sœur, elle avait fait poussé du lierre sur les colonnes et le plafond, la chambre en elle même dégagé beaucoup d'oxygen du aux diverses fleures. Cependant il s'arrêta devant la chambre parentale et le bureau de son père, ne voulant point dérangeait celui-ci, de toute façon il les avaient sentit, si il ne venait pas saluer son propre fils c'est qu'il en avait rien a faire s'indigna Alois. Il ne pu avouer pour la chambre des parents qu'elle était digne de passée dans 50 nuances degrés, il l'emmena au finale dans la forêt. "Et c'est ici que j'ai passé la majorité de mon enfance, je prenais quelques livres et je m'éloignais, ma sœur me collait toujours, et l'on passé le plus clair de notre du temps à discuter, à se chamailler à jouer", ils avaient débouché sur une petite clairière où trônait un arbre, il avait bien grandit depuis, comme lui pensa Alois, l'air nostalgique.

Alois lui fit alors visiter les pièces importantes du manoir, un jour il espérait que le brun lui jouerait une petite mélodie sur ce magnifique piano. France n'était pas très doué de ses mains pour jouer de la musique, juste pour dessiner. Le seul instrument qu'il n'est jamais toucher fut le fameux triangle du collège. Un souvenir douloureux pour le blond qui se souvenait des cours de solfèges. Après un rapide passage dans la bibliothèque immense, le brun l'entraîna dans la fameuse forêt ! "Je suis sûr que tu étais adorable enfant ! Je t'imagine avec des joues joufflues, à croquer !" s'exclama le blond en imaginant le brun dix avant, il aurait tellement aimé le connaître pendant son innocence. L'endroit était absolument charmant, et des idées pas très catholiques venaient d’effleurer son esprit. Et il avait bien envie de baptiser l'endroit. Mais il n'était pas sûr que le brun est envie de lui en ce moment. Il embrassa tendrement les lèvres du vampire.

France était à cet endroit, celui où il eu le plus de souvenirs étant enfant, il lui partageait sa vie, jamais il eu cru possible de pouvoir encore s'ouvrir à une personne, il l'aimait plus que tout ce que le monde pouvait encore lui offrir, jamais il ne le laisserait partir. "Je me rappelle surtout avoir été plus petit que ma sœur, et qu'elle en profitait pour me tirer les cheveux, et que le moindre insect me fessait sursauter" , il se rappelait pleins de souvenirs où le monde extérieur l'effrayait, seul ses livres l'apaisait, un peu comme aujourd'hui en fait. "Au final, je n'ai pas vraiment changer, seul toi est rentré dans ma vie, et c'est amplement suffisant jusqu'à sa fin" , après cette déclaration il embrassa ces lèvres qu'il aimait tant dévorer. Cependant en réfléchissant sur ses propos, il est vrai que France lui n'était pas éternel, cette pensée lui donna presque l'envie de pleurer, mais il se résolut tout de suite à réfléchir sur ce genre de sujet le moment venu, pour oublier, il embrassa plus sensuellement son amant, caressant son corps à travers le tissu.

Il pourrait passer des heures à embrasser les lèvres de Alois. Les mains du vampire lui faisait perdre la tête et il n'avait qu'une envie c'était avoir le cul en l'air et de faire la brouette contre l'herbe. Grace à ses années de gym, il était doté d'une grande souplesse. Il pouvait faire toutes les positions au monde. 《 Alois, je suis si content d'être avec toi》 souffla le blond contre les lèvres charnues. Ses mains vagabondaient partout sur le corps musclé du bel homme. 《 J'ai très envie de toi. 》 Au moins Frannie était clair et sincère et ne passer pas par quatre chemins. Surtout avec le sexe. Il savait ce qu'il voulait et aimer, et voulait aussi faite plaisir à son partenaire surtout si c'était Alois. 《 Puis tu sais, il faudrait que tu tiennes ta promesse mon chat》 dit France aguicheur.

Pendant que les deux tourtereaux batifolaient le temps s'écoulait, et Alois fut bien surprit de voir la nuit tomber, il s'agrippa alors à Frannie, "Nous devrions rentrer, il se fait tard...Ma mère doit surement s'inquiéter...Je..." , il perdit le fils des mots, ne sachant plus penser complètement, paralysé par la peur, quel comble pour un vampire d'avoir peur du noir. Il avait déjà expérimenté cette situation dans sa jeunesse, surtout lors de grande lecture, avec France il oublié toute notion de temps, avec la sensation que celui-ci était figé. Il enfouit sa tête sur le torse du blondinet, "Je suis désolé..." , le vampire n'avait plus aucune emprise sur lui même, il espérait juste que son sauveur vienne secourir cette princesse en détresse. Et puis il était déçut d'avoir ainsi gâcher la partie de jambes en l'air tant désiré par le cracmol, "Frannie, peut tu me guider...J'ai peur" , jamais Alois c'était sentit aussi faible, surtout l'exposé à celui qu'il aimait.

Aggripant le bras du brun, Frannie le guida à travers le sentier.  《Ce n'est pas grave, on se rattrapera ce soir. 》 répondit calmement le blond un peu dégoûté de voir sa partie de jambe en l'air se terminer aussi rapidement. 《 Je suis ĺà, tu n'as pas à avoir peur 》. Sa main s'était logée dans celle du vampire. Il pouvait voir les lumières de la demeure. 《 On est bientôt arrivé 》 Une fois à l'intérieur du manoir, il enleva son bras qui tenait fermement le brun. 《 Tu vois on est arrivé à destination. 》 Il embrassa les lèvres pour le rassurer. Si il aurait pu il aurait bien continué ce qu'ils avaient commencé un peu plutôt. Mais pas sûr que belle maman apprécie de voir son fils entrain de culbuter son gendre sur la moquette. En plus le sperme c'est chiant à laver. Il pouvait entendre des pas se rapprochait d'eux. Frannie se demanda si il allait rencontré enfin le père de Alois.

Le vampire fut assez rassurait de ne pas subir des raillerie de son amant, de sentir le contact de sa main et d'être guider en lieu sûre. Arrivez au bercail il poussa un soupir d'épuisement et de soulagement à la fois, "Et bah alors grand frère ta oublier que la nuit ne te portait pas dans son cœur?", au final c'était sa sœur qui se moqua de lui, mais il l'ignora comme pas permit, il se sentait déjà honteux envers France alors, les petites remarques ne l'atteignirent point. "Sinon le diner est servit et au fait, j'aurais été avec toi tu n'aurais pas eu ce problème, je ne vois pas à quoi ce truc peu bien te servir à part de jouet", elle tira la langue à France tel une petite peste.

Hossant un sourcil devant le comportement gamin de la frangine. Frannie se retient de l'envoyer chier. Il devait faire ses preuves devant cette nouvelle famille. Mais si elle ne le respectait pas en tant que individu jamais il n'aura du respect pour eux. Car il se gagne. Suivant la gamine vers la salle à manger. Il prit place à côté de Alois. Ce soir il n'avait pas très faim. L'atmosphère du dîner n'était pas ce qu'avait l'habitude Frannie. Lui connaissait des dîners animés alors que ici tout était pesant. Discrètement il prit la main de Alois sous la table. Si il faisait tout ceci ce n'était que pour le vampire. Et il allait devoir ravaler son venin pour la soeur. La meilleur des armes était le silence.

Alois fut très triste de voir que sa sœur ne considérait pas France comme de la famille, elle est adorable et aimante sinon, mais il lui en voulut au nom de son amour. A table ce fut un silence morbide, il vit son père assis comme si de rien n'était, comme si il n'avait jamais quitté la maison, le regardant simplement, et jetant des coup d'œil inquisitoire à France, comme pour le juger, on ne pouvait jamais savoir ce que le papa vampire avait derrière la tête, avec l'air hautain et des traits sévères il était un homme vraiment dure à cerner. Et d'un autre côté nous avons, "Alors France parle nous de toi, Alois ne fait que louer son amour pour toi, mais il nous en dit pas beaucoup, ta famille est en Italie alors? Qu'aimes tu faire? As tu un travail? Comment fut votre rencontre? Je me rappelle celle avec mon petit lapinou d'amour comme si c'était hier, dès que je lui ai renverser mon verre dessus j'ai su que nos destins étaient scéllés" , la mère d'Alois avait un don pour parler en continue sans reprendre son souffle, cela fit sourire Alois de voir au moins une personne chaleureuse avec France.

Essayant de retrouver un sourire chaleureux, il serra plus fortement la main de Alois. 《Oui, ma famille loge à Florence depuis des années. Je suis consultant à la banque magique de France. Je suis passionné d'art et je suis élève à l'école des Beaux arts. Nous nous sommes rencontrés à sur mon lieu de travail 》 répondit le plus jeune comme ci il recitait un CV pour son futur travail. Il eut un sourire en coin devant le surnom affectueux de la mère envers le père austère. Ils étaient pas assorties et pourtant, Frannie ne doutait pas de leur sentiments. Il fit un sourire tendre à Alois.

Sentant la pression de la main de France dans la sienne, il se demandait ce que pouvait ressentir le cracmol, il est vrai qu’ils sont assez difficiles à vivre mais ils ont un bon fond de famille uni, dommage qu’ils ne le montrent point avec sa dulcinée à ses côtés, seule sa mère restait fidèle à elle meme, et puis elle doit bien s’ennuyait toute seule entourait de gens peu éloquents. « Ohh tu n’a pas de détails plus croustillants? Vos yeux se sont croisés et ce fut le coup de foudre? Quelqu’un a fait tomber des documents et vous vous êtes effleurés les doigts? » , Hilda était partit dans une énumération de cliché romantique, elle partageait cette passion romanesque digne de romans à l’eau de roses avec Alois. Celui-ci se retenait de rire, leur rencontre ne fut pas des plus romantiques, plutôt explosive, mais il s’en rappelait avec nostalgie.

France eut un petit rire gênait en repensant de leur première rencontre. Il était pas sûr que la famille allait apprécier qu'il leur dise que le blond avait insulté le vampire et inversement. Cela n'avait rien de romantique juste virulent et explosif. 《 On s'est rentrés dedans.》 Répondit simplement le plus jeune avec sincérité en oubliant le passage que Alois avait fait exprès de le faire trébucher et son fameux coup de coude. France respectait la famille mais celle ci lui donnait des sueurs froides, entre le père qui ne disait rien, le regard de la soeur et la maman gâteau.

La mère d'Alois eu comme des paillettes dans les yeux, "Ohh c'est comme avec mon sucre d'orge, et dire que je l'avais insulté, jamais il n'eu était aussi surprit", la belle maman fut couper par la sœur chippie, "C'est bien beau l'amour et tout le tintouin, mais pensez-vous vraiment que cela va durer? As-tu déjà oublier ton ex femme mon cher frère?" , Alois reçut comme un poignard au cœur, il n'en avait pas encore parler à France, il voulut se lever et la secouer, mais le père frappa du poing sur la table, le regard qui se voulait donner la mort à l'objet de sa vision. Toute la famille se tut, même la mère eu le regard perdue dans les vagues. Le vampire ne pouvant plus rester en place tira France avec lui hors de la table, "Vous pouviez pas être une famille normale pour une fois?!" , Alois emmena le jeune homme jusque dans sa chambre, "Je suis vraiment désolé pour tout, ils ne sont pas comme ça d'habitude..." , il ne savait plus vraiment quoi faire il redouter ce voyage pour la simple raison d'entendre parler du sujet tabou.

Avant que France n'est eut le temps de terminer sa salade. Il se retrouva dans la chambre du vampire. La phrase de la soeur avait jeter un froid dans la conversation et surtout avait bouleverser son copain. Se rapprochant du brun, il le prit tendrement dans ses bras avant de le faire allonger sur le lit. Calmement, il passa sa main dans les cheveux de Alois pour apaiser le plus vieux. Pourtant, Frannie mourrait d'envie de savoir qui était cette fameuse femme qui avait eut la chance d'être marier au vampire. Mais, il avait peur de provoquer une réaction vive. Et se trouvant dans un territoire inconnu il ne voulait pas jouer avec sa malchance. Pourquoi ses visions ne l'avaient - elles pas prévenues ? "Tu n'es pas obligé de parler ou bien de te justifier. Tu auras tout le temps pour me parler de cette personne" murmura le plus jeune contre la chevelure.

Il fut soulager d'une certaine manière que France respectait ses sentiments, mais il préféra se confier, de toute façon tôt ou tard cette conversation devait avoir lieu, et il n'avait qu'après le petit boule de Frannie maintenant, le passé était derrière lui, "J'ai aimé une femme pendant 8ans, nos familles s'adoraient, on avait des projets d'avenir, nous avions même pu envisager l'enfant...Nous avions donc décidé de se marier, vois-tu dans les films lorsque le prêtre annonce "Et que celui qui s'oppose se manifeste ou se taise à jamais", tu vois souvent quelqu'un se levé pour protester, et bien c'et ce qu'il s'est passé, lui promettant mont et merveilles, étant son ami d'enfance, elle finit par partir avec lui" , Alois marqua un temps de pose, d'ordinaire des larmes lui seraient venus, où il n'aurait pu finir sa tirade, mais France était avec lui, il se sentit soulagé d'un poids en moins. "C'est pourquoi depuis 5ans je suis partie pour Paris, sans jamais revenir, et puis je t'ai rencontrer... Et tu as ajouter des couleurs à mon arc-en-ciel composé de gris...Je m'étais demandé ce qu'il avait de plus que moi, sa réponse fut que je n'avait pas ce don pour faire part des sentiments, que je n'ai jamais su faire vibrer sa corde sensible autant que son amant, peu être à t-elle raison" , le vampire ce demandait bien ce que le plus jeune pouvait penser de lui, "Un vieux connard terne?" , "Un coureur de jupon torturé?".

Sans rien dire, il écoutait attentivement Alois. Il eut un pincement au coeur, devant le comportement de cette gourgandine. Tendrement il passa sa main dans les cheveux pour appaiser le bel homme. France ne comprenait la réflexion de la soeur. Ne devrait elle pas être désolée pour son frère ? Jamais les siens se seraient permis une telle chose. Qu'importe les moments ils étaient tous unis ! 《 Et je suis heureux de te connaitre Alois. Aujourd'hui elle doit se mordre les doigts d'avoir perdu une perle rare. 》 Il embrassa doucement les lèvres du vampire. Chaque jour, le blond pouvait remercier le ciel de l'avoir mit sur le chemin du plus âgé. Il frotta son nez contre celui de Alois et posa sa tête sur le torse.