Un silence de mort s'était abattu sur le retour, pas un seul regard ni un mot avaient parcouru le trio. Alois avait bien envie de faire disparaitre l'italien du globe, mais se retenu par amour pour France, et puis ce soir il sentait bien le retour du boomerang dans le visage, de un, l'altercation avec Giani, et de deux la fuite qu'il avait emprunté face à sa sœur. Il est vrai qu'il avait au final toléré son installation clandestine, comme si elle était tout à fait une chose habituelle. Mais il n'avait pu rien y redire, il faisait face à sa culpabilité de l'avoir abandonné pendant 5ans et d'être revenu dans la maison familiale pour présenter la personne qui faisait chavirer son cœur. Arrivés dans le couloir qui séparait les deux sphères privées des amoureux, il vu une furie adosser à la porte de son appartement, tapotant de ses doigts nerveusement, il savait déjà ce qu'il allait subir. "Non seulement je te fais le privilège de t'honorer de ma présence, de te récupérer, et de recoller tout tes morceaux quand tout va mal, mais alors tu me plantes pour passer du bon temps avec ton éphémère copain, alors que je suis venue exprès pour toi car tu me manquais, et que je voulais vivre avec toi". Alois fut interloqué par la dernière partie du discours, il ne l'avait pas vu sous cette angle, il l'aurait bien reçut pendant une ou deux semaines, mais pas en skouatage indéterminé.

Le trajet se passa dans un silence mortel. Encadré par Alois rt Giani, France faillit partir en courant très loin de ce pays. Pour couronner le tout comme ci ce n'était pas assez le bordel dans cette soirée. La soeur de Alois alias la peste était venu rajouté son grain de sel dans l'affaire. Trop fatigué émotionnellement et physiquement il ne releva même pas la remarque de la blonde. De toute façon il avait D autre chose à faire que répondre à une chipie mal élevée. Puis avec Fidji il avait vu bien pire. S'appuyant contre Alois, il se dit que cette histoire aller être très longue.

Le vampire était juste sidéré, tout ce qu'il pouvait souhaiter en ce moment était de s'enfermer sous une couette avec France, mais le destin en avait décidé autrement et avait foutu deux bon gros boulets sur leur chemin. La situation le dépassée complètement, entre l'autre qui avait essayer de se taper son copain et sa sœur qui n'arrange pas les choses, il ne savait plus sur lequel se fâcher. "Vous avez tous décider de m'emmerder aujourd'hui! Toi Giani tu te cases et fasse en sorte que je ne te revoies plus jamais, et toi ma cher sœur tu as 2 semaines et après je te fous dehors, c'est comprit?!" , le brun n'avait même plus envie de prendre des pincettes, et il savait bien se faire comprendre, si les mots ne les atteignaient pas, il leur fera comprendre d'une manière ou d'une autre, quitte à les virés par la peau du cul. La peste ne fit aucun commentaire connaissant très bien les capacités de son frère, elle préféra se contenter de ce qui ai donné, et pour une fois elle n'en rajouterais point plus.

Jetant un coup d'oeil étonné à Alois qui venait de remballer sa soeur et Giani. Il ne put s'empêcher d'être fier et de le trouver canon quand il se mettait en colère. Il n'y avait rien de mieux pour stimuler les hormones de Frannie avec un vampire pas content. Presque que toute cette histoire allait terminer avec un France sur l'épaule d'un vampire colérique et direction la chambre du cracmol. Certes, il avait dit pas de brouette à Alois mais peut-être qu'il allait revisiter sa position. Attrapant la main du brun pour la serrer dans la sienne en signe de soutient. Il ne savait pas si il devait intervenir ou non. Le cracmol avait bien envie d'envoyer chier la peste et Giani mais il ne voulait pas faire empirer la situation.

Alois fut apaisé lorsqu'il sentit la main de France se glisser dans la sienne, mais il n'en pensait pas moins. Il ne savait presque plus quoi en faire de ces boulets, les ignorants complètement il prit France sous le bras et le traina jusqu'à sa chambre, bientôt la leur. Il le jeta carrément sur le lit et se déboutonna la chemise, il avait bel et bien envie de se défouler sur quelqu'un, dommage pour le jeune homme d'avoir était sur son passage. "On ne peu pas souvent prédire les évènements de la vie, mais on peut toujours forcer le destin, et ce soir j'ai décider de te faire l'amour" , le vampire était semi énervé mais aussi soulagé d'avoir planter les deux autres, il avait la terrible envie de passer un bon moment seul avec sa dulcinée.

Sans savoir ce qu'il venait de se passer. France se retrouva projeté sur son lit en moins de deux. Il se mordit la lèvre en avisant le torse musclé du vampire. Il avait pas dire, Alois était drôlement bien foutu ! "Tu sais que tu es puni de brouette mon coeur" le taquina gentiment le blond en embrassant les lèvres du nordique. Malgré ses bonnes paroles, il était sûr que Alois arrivera facilement à le convaincre de faire le lotus. Dire que les paroles du vampire ne l'avait pas existé était un mensonge. Le voilà tout tremblant de désir sur son lit qui avait connu quelques heures plutôt leur débat. "Puis je suis pas sûr que ta soeur et Giani apprécient vraiment qu'on les ait plantés au milieu du couloir commun" constata le cracmol en mordant le lobe. Mais qu'importe, dans son état actuel il dirait oui à tout. "Au pire on s'en fout ! Je vais te sucer mon coeur comme jamais auparavant !" murmura sensuellement le plus jeune en dirigeant son regard vers l'érection.

"Ils n'ont qu'à suivre notre exemple", 50 nuances d'Alois de retour, comment résister avec sa diva qui se tortille sous son corps? Pas le vampire en tout cas. Il lui retira ses vêtements avec une certaine hargne, avant de les balancés à l'autre bout de la pièce, "France, je veux te prendre comme jamais, je veux que ce soir tu hurles mon nom", il voulait être la seule personne dans la tête et le cœur de son amant, faire entendre à tout le monde entier leur amour. Il vint passer sa langue dans le cou du blond, pour remonter jusqu'au lobe, jouant avec, le mordillant. Il embrassa les lèvres rouges du jeune homme avant de plaquer sa main sur la bouche de son beau soupirant, cherchant de sa main l'érection du soumis, parcourant de ses doigts, comme avec les touches d'un piano.

"Des promesses. Des promesses, j'attend de voir si tu vas les tenir !" répondit France joueur avec un immense sourire. Il se fichait bien que la soeur et son ami puissent l'entendre crier son plaisir. Avec toute cette frustration accumulé, France n'avait qu'une envie c'était de stimuler leur plaisir. D'un coup de hanche, il fit basculer Alois sous son poids et posa ses royales fesses sur le bassin du vampire. "Je vais te montrer ce que cela fait de hurler de plaisir, mon coeur. Je ne veux entendre que mon prénom dans tes lèvres" murmura sensuellement le plus jeune en frôlant les dites lèvres avant de les poser dans un baiser féroce. Ses doigts jouaient avec l'érection de son vampire avant de dégrafer d'un geste habile le pantalon et de jeter celui-ci avec le sous-vêtement dans un coin de la chambre. "Je veux que tout l'immeuble puisse nous entendre et qu'on montre que notre amour n'est pas éphémère mais fort !" souffla Frannie contre l'oreille de Alois avant de poser ses lèvres sur le cou et de laisser une marque.

Face à un jeune tout feu tout flemme, il ne pu s'empêcher de lâcher un gémissement, c'était aussi un petit plaisir d'avoir un copain aussi entreprenant et attentionné tel que France, il était sous le charme face au blond qui ne réclamait que son corps. De ses doigts il griffa sensuellement le dos de Fran' lorsqu'il souffla les quelques mots à son oreille, sa seule marque de faiblesse. "Ne t'ai-je pas déjà dit de faire attention à tes arrières? , d'un sourire malicieux, il lui chopa le bassin pour ne former qu'un avec lui, resserrant ses bras autour de sa prise, sentir la peau bouillonnante du cracmol contre la sienne. De part des mouvements assez lent pour faciliter le passage, c'est ainsi que les vas et vient commencèrent, en quête des gémissements de l'autre, "Je t'aime, France"

Rejetant la tête en arrière devant ce déferlement de plaisir, il ne pouvait que gémir de façon pitoyable. Il fallait dire que Alois avait un coup de hanche qui n'avait rien à envié au sien et à Beyoncé. "Putain" jura dans ses tâches de rousseur, il haleta essayant de reprendre pied sur Terre. Mais difficile à dire devant ce rythme lent qui allait le tuer à petit feu. "Ne t'ai-je pas dit qu'il fallait tenir tes promesses et me faire crier ?" rétorqua malicieusement France rouge en se mordant la lèvre. Il se pencha pour embrasser les lèvres de son tendre, mêlant salive et sang dans un baiser fougueux. "Je t'aime " souffla le plus jeune, la tête dans le cou du vampire grignotant la peau tendre en quête de suçons et d'appartenance. Il fallait dire que le vampire savait stimuler à merveille ses points de plaisir. Mais pour le prochain tour, c'est lui qui allait donner du plaisir à Alois ! Fermant les yeux il savoura ce moment. " Mon coeur, je suis pas en porcelaine. Tu as intérêt à me prendre avec force sinon je retourne voir Giani ! " dit Frannie avec une lueur de défi et humour.

Alois eu un petit rire devant la décadence de France, lui qui était si rouge en demandait encore plus, c'était un peu comme la peur de casser un jouet, mais il pouvait bel et bien attester que ce n'était pas du made in china, oh non. "Je ne suis pas sure qu'après cela tu ai la force de marcher jusqu'à lui", le vampire fut légèrement énervé de réentendre parler de se fouteur de troubles. Il allait bien lui faire passer l'envie de penser à cet italien. Requête acceptée, il s'enfonça plus profondément en France, tenant son postérieur entre les mains, il le tringla façon rideau. Se relevant, il le prit en lotus, lui plantant ses canines dans le cou, comme une symbiose, tout s'emboitait si bien avec le blond. Haletant il vint embrasser les lèvres du cracmol tout en passant sa main dans la masse blonde, s'agrippant par moments, "France, tu me rend fou", il ferma les yeux n'écoutant que le souffle et les gémissement de l'autre, il se sentit presque à sa limite.

"Oh mon dieu " gémit France, les yeux clos et la bouche rougie par les baiser. On pouvait dire que le brun savait manier son marteau. Il avait l'impression de se faire racler les parois et c'était foutrement délicieux. Il n'avait qu'avec Alois qu'il se sentait aussi dévergondé. "Han, c'est tellement bon" surtout avec la morsure qui venait de décupler son plaisir. Il savait la fin proche mais Frannie voulait que leur étreinte dure pour toujours. Le fait de le sentir au fond de lui, de sentir ses mots d'amour et de voir Alois le tenir fermement transportait France au Nirvana sans retour à la case départ. Voulant donner du sien, il bougea dans un mouvement de hanche digne d'un twerk ses fesses pour sentir le plaisir du vampire plus profond en lui. Frannie avait le feu au cul et Alois allait en subir les frais ! "Il m'en faudra plus pour m'enlever la force de marcher ! " répondit sensuellement le plus jeune en embrassant les belles lèvres qui étaient à sa disposition.

Le vampire fut prêt à relever le défi, on ne le provoquait pas impunément, et surtout sur ce terrain la, son désir il allait ressentir, marcher il ne pourra plus, tel était sa devise. Il fit basculer France sur le dos, tel moïse qui écarta la mer, il lui écarta les jambes digne d'une pose de french cancan, testant la souplesse du blond. Lui assénant des coups des plus fatales les uns après les autres, il finit par déverser son liquide d'amour dans le corps de France. Il vint embrasser les lèvres rouges de son amant, et il lui murmura tout près, "France, mon corps, mon âme, tout t'appartient, j'ai confiance en toi" reprenant son souffle, le brun s'enfouit dans le cou du plus jeune, "Je t'aime" , ces mots le bruler de l'intérieur, d'une chaleur qui se voulait être la passion.

Reprenant difficilement son souffle, il se colla contre le corps moite de Alois. Il retient une grimasse en sentant, le liquide couler. "Je t'aime aussi, et je t'appartiens'' répondit France gênait de la déclaration si passionnelle du plus vieux. Décidément, il avait grand besoin d'une bonne douche. Se relevant, il embrassa les lèvres du vampire et lui caressa tendrement la joue. Même après l'amour, Alois restait fatale pour le désir et le coeur de France. Il était sûr que si Alois devenait tout flagada comme un pruneau, il ressentirait encore du désir ! Embrassant une nouvelle fois les lèvres rouges, il se dégagea de la prise du brun. "Je vais à la douche, si tu veux venir me rejoindre. " dit Frannie avec un clin d'oeil espiègle et un immense sourire. Il partit rapidement rejoindre sa salle de bain pour se glisser sous le jet d'eau et gémit de bonheur en sentant l'eau ruisselait de son corps et détendre ses muscles noueux après l'effort.

Il saisit avec joie cette invitation, il veut bien être amené à faire un tour sous la douche, surtout en si charmante compagnie, il se glissa alors aux côtés de son âme sœur. Il aimait bien profiter de passer le savon sur le corps de son amant pour lui caresser la peau ainsi, embrassant ses lèvres mouillés, leur corps glissaient d'autant plus, cette sensation était si enivrante pour le vampire, de sentir la peau lisse de France contre la sienne. Que ce soit par l'eau son désir ardent pour le blond ne s'éteindra jamais, il lui apposa de nouvelles marques dans le cou, et du sang se mêla avec les gouttelettes d'eau ruisselant sur le corps du cracmol. Il aborda une mine boudeuse, et une voie triste, plaintive "France...tu tiens encore debout, je ne suis pas content, si je veux honorer mes paroles, je dois y remédier", il avait un sourire malicieux au coin des lèvres, ce n'était juste que le round 1 qui venait de passer.

En voyant la vigueur de Alois retrouvait France eut un sourire malicieux. Devait-il rentrer dans le jeu de son amant ou le laissait frustré ? Dure dilemme. Il se pencha pour embrasser les lèvres de son tendre et appuyer son front contre celui du vampire. Il ferma les yeux et profita de ce moment de paix. Son corps était encore sous les effets de son orgasme. "Tu sais, l'un de mes fantasmes est de le faire sous la douche. On pourrait le faire ?" dit le plus jeune en frôlant les lèvres humides et rougies. Il se mordit la lèvre en voyant le corps parfait de Alois être mit en avant par les gouttes d'eau. Il n'avait qu'une envie, lécher chaque centimètre de peau. Posant ses lèvres sur le torse il se mit à l'embrasser tendrement. Sa main dériva vers la vigueur du vampire pour la prendre en main puis en bouche. Il avait totalement oublié la soeur et Giani. Il ne pensait plus qu'à lui et Alois dans cette douche. Et aussi à sa future facture d'eau.

Et champagne, tel enfant que l'on amènerait à un parc d'attraction, Alois avait le droit à une partie supplémentaire de jambes en l'air, qui plus est deux fois plus mouillés. Si il s'attendait à pouvoir réaliser un des fantasmes de son partenaire, il fut plus excité à cette idée la, pour sa part il est vrai que le vampire avait plutôt des gouts particuliers, il se demanda si il jour il ne devrait pas initier le petit Frannie, mais il préféra prendre son temps avant de lui montrer l'étendu de son côté sombre et ses penchants qui le sont tout autant. Il poussa un gémissement assez surprit d'avoir déjà son amant attaquer son entre-jambe, il posa main sur la tête du cracmol avant de la forcée à aller plus loin dans sa dégustation. Il lui avait bien tendu la perche alors il n'allait pas se gêner pour la saisir, "Je vais te combler ce soir" , et pas seulement que d'amour.

Il se laissa guider par le rythme de Alois. Ses joues se creusaient pour donner un maximum de plaisir et ses yeux étaient voilés par l eau. D'un regard remplit de désir il fixa le visage de son tendre. Il se demanda quel pouvait bien être les fantasmes de son vampire. Le cosplay ? Un terrain qie Frannie avait envie d'explorer. Le sexe entre ses lèvres lui donnait une impression de puissance sur Alois. Après un dernier va et viens. Il se releva pour embrassertendrement son amour mêlant salive et le liquide du plaisir de son homme. 《 Tu n'avais pas une promesse à tenir mon chat ? 》 demanda malicieusement France le visage rougit par l'eau et de ce qu'il de faire. 《 Je crois que j'ai un trou qui demande à être comblé ! 》

Il fut un temps où Alois aurait piqué un far face à tant de dépravation, mais c'est aussi un point qui l'attirait vers France, et puis il ne pouvait mentir la dessus, cela le mettait en émoi. Le planquant contre le mur de la douche il prit soin de marquer son territoires sur bon nombres de zones, jusqu'au poignets mêmes, puis sans prévenir il souleva sa diva, pour rentrer une nouvelle fois à l'intérieur, et explorer peu être de nouvelles parties non découvertes, à la quête du graal, l'orgasme. Cette fois ci il y mit encore plus d'énergie et du cœur, pour réaliser le fantasme de son amour, il y mettait un point d'honneur, pour être celui qui lui arracha le meilleur plaisir au monde, tel qui n'en connaitra jamais ailleurs, et qu'il ne pourra se passer de lui, "J'en connais un qui ne pourra plus cesser de me réclamer" , lui di-il d'un ton joueur.

Torse contre la paroi humide de la douche. France ferma les yeux pour profiter de ce moment. Il savait qu'à la fin de ce périple, il allait être marqué de partout et ne pourrait sortir qu'avec une combinaison de ski pour que personne ne le remarque. De toute façon à l'heure actuel, il ne pouvait que gémir, crier et montrer à tous que Alois était le nouveau Thor des temps modernes qu'il savait manier à merveille son marteau. Et taper correctement dans sa prostate le faisant frisonner de délice. Son ventre se contracta et il joua avec ses muscles pour donner un maximum de plaisir à son vampire. " Je crois que c'est plutôt toi, qui ne pourra plus jamais te passer de moi et de mon cul " rétorqua France en ouvrant les yeux embués de plaisir pour embêter son copain. D'un coup de hanche, il fit ressortir la vigueur d'entre ses fesses pour pousser le brun contre le sol sous le jet d'eau. Il s'empala sur toute la longueur faisant buter son fessier contre le bassin de son amour le tout dans un long gémissement de satisfaction avant de commencer un mouvement lent pour rendre fou son vampire.

L’idée de se faire violer traversa l’esprit du vampire, en voyait sa proie se détacher pour le propulser au sol et s’en servir de bâguette magique du plaisir. Il ne pouvait s’empecher de se mordre la lèvre inferieur, comme pour se retenir encore un peu, pour faire durer le plaisir jusqu’a son paroxysme. «France, je t’en veux et j’en aurais jamais assez de toi » , il aimé tout de son blond, son corps, son être, son âme, tout lui appartenait, il l’avait marqué à l´indelibile, à jamais, et ils seront toujours uni, au delà même de la mort. Colant son torse contre celui de France, il sentit les deux corps mouillés, et une autre substance venir. Il préféra finir à l´exterieur quand il entendit le jouissement final de l’autre, le voir enduit de son huile spéciale le fit sourire, « quel belle œuvre d’art fais-tu », il finit par l’embrasser affectueusement.